Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Zuckerberg (Mark)

Etes-vous dans le Trombinoscope mondial (en v.o: FaceBook), où vous avez pu spontanément et naïvement laisser les traces de votre exhibitionnisme inconscient? Et comment ne pas comprendre que, si on ne veut pas que des informations ou des photos personnelles circulent à travers la planète (a-fortiori dans la cour du lycée), il suffit…de ne pas les donner (ou de ne pas les ‘partager’), au risque qu’une technologie pas encore activée ne les exploitent encore davantage demain?

Malgré les chutes en Bourse que vaut la révélation de fuites ‘industrielles’ à son inventeur, cet homme reste une montagne (de billets) à lui tout seul, ne serait-ce que par une partie de la racine de son nom, que vous avez déjà identifiée avec ‘berg’, la montagne en allemand; disons pour le moment en germain, puisque, comme tous les américains (ou presque, sauf ceux qui sont encore dans les ‘réserves’), les ancêtres de Mark (avec un K, justement) sont d’origine germanique, le reste du mot (zucker) ayant contribué à créer quelques lignées ‘juives’ émigrées à New-York (où est né M.Livre des Visages) au tout début du vingtième siècle.

Le problème est de faire de ce patronyme une étymologie…logique, car, que vous soyez germaniste ou non, vous avez déjà senti, dans l’autre partie du mot, la saveur du…sucre, ce ‘zücker’ saxon devenu anglo- en prononçant de façon légèrement plus sourde les consonnes en ‘sugar’. Même origine, avec un petit préfixe pour ouvrir la bouche, pour l’azucar’ espagnol, le ‘zucchero’ italien, le ‘caxap’ russe ou le ‘satou’ japonais (si, si); et même le sakara sanskrit (dialecte indien), ce qui fait quand même beaucoup de morceaux de sucre (*).

Seulement voilà, si l’on traduit directement le mot, cela nous donne une idée de ‘montagne du sucre’ (pas sucrée), qui n’a pas forcément grand sens, sauf à se promener dans un conte avec des châteaux en pain d’épice! Car, autant connait-on des Schoenberg (une belle montagne), des Goldenberg (une montagne -des monceaux- d’or) et autres Weinberg (la colline ‘à vin’ donc plantée de vignes), autant y-a-t-il peu de gens nommés Iceberg dans les glaces de l’Etat-Civil et encore moins de Zuckerberg dans le sucre même glacé.

C’est que, cette fois, la racine vient du verbe ‘zucken’, que l’on peut prendre dans plusieurs sens (y compris physiquement): il est en effet question d’enlever, d’ôter quelque chose, voire de retirer (un objet ou une personne) d’un endroit. Ce qui aurait donné à quelques chers envahisseurs brutaux le surnom de ‘celui qui enlève vite’ (son épée du fourreau), un as de la dégaine…Soit. Mais reste quand même l’énigme de la montagne, qui peut difficilement ici représenter l’habitat d’un amateur de sabres lumineux.

Un autre sens du même verbe, extrapolation de la première définition, est celui de sauter, de tressauter, de vibrer. Il est même parfois question de spasmes (lors de maladies); alors certains y ont vu l’image d’une ‘montagne qui tremble’, autrement dit un lieu de séisme(s), suffisamment faibles quand même pour laisser la montagne en place; or, il existe un endroit qui correspondrait à cette description et que certains situent précisément en ex-Allemagne de l’Est, près de la ville de…Zuckaü (Suckau/Sukow).

En fonction de sa culture et de son ressenti (c’est le cas de le dire), chacun se fera son image de M.Zuckerberg, qui justement n’a pas hésité à faire trembler la Bourse à plusieurs reprises. Peut-être même étymologiquement?

(*) Contrairement aux apparences, la Bolivie ne doit pas le nom de sa capitale (et de sa monnaie) à la production de saccharine en petits cubes blancs (ou roux) mais en mémoire du patronyme de son libérateur, un certain Antonio José Sucre, ci-devant lieutenant du célèbre général….vénézuélien Simon Bolivar. Et vous savez quoi? Lui-même serait l’arrière-petit-fils d’un aristocrate…flamand (pas flambant, ça ferait du caramel), le citoyen Charles de Sucre, futur gouverneur de Cuba (ça tombe bien pour ses cannes) de par la grâce du roi d’Espagne, et néanmoins apparenté à Godefroy de Toulouse, chambellan du roi de France Philippe de Valois. Comme quoi, il faut toujours que les Français mettent leur grain de…sel quelque part.


N'hésitez pas à soutenir ce site ! Il vous est possible de faire un don libre pour assurer un contenu régulier et sans publicité. Votre participation serait grandement appréciée !

 
 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.