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Dans la famille De Caunes, je demande la fille (d’Antoine) ou la petite-fille (de Georges). En effet, petite respiration « pipole » avec celle qui est apparue le week-end dernier dans le carnet rose (enfin, blanc) de quelques gazettes, à l’occasion de son mariage avec un musicien rencontré lors d’une de ses émissions de télévision en tant qu’animatrice. Pour comprendre l’origine -facile- du patronyme d’Emma, il suffit de remonter à son (également) illustre grand-père.

Petite parenthèse sportive en ce milieu de semaine, au sujet d’un remplacement dans l’équipe de France de rugby qui jouera pour le Mondial 2011. En raison d’une blessure de David Skrela, le demi de mêlée toulousain Jean-Marc Doussain est appelé pour la première fois dans le groupe national. Bonne ouverture pour se pencher sur l’étymologie des Doussain, mais aussi des Dousset, Doux et quelques autres ‘brutes’ du sport international.

Impossible de trouver assez de place pour énoncer ici le palmarès de la « doyenne des championnes françaises » en plus de 30 ans de courses. Jeannie d’Annecy a toujours entendu les voix de la raison, mais son nom revient dans l’actualité car certains se demandent où son mari a bien pu aller faire ses courses depuis quelque temps. Intéressons-nous donc aujourd’hui à Longo.

Actualité calme pendant ces derniers jours, y compris d’un point de vue linguistique, le nom des quelques personnalités apparaissant à la Une ayant déjà été traité dans ces colonnes précédemment (1). Toutes? Non, car un élu marseillais (en fait, de Marseille, puisqu’il est de naissance corse) se fait remarquer en piquant une épine dans le pied socialiste, j’ai nommé Jean-Noël Guérini, actuel et inamovible (à ce jour) président du conseil général des Bouches-du-Rhône, personnage que nous allons immédiatement mettre en examen…étymologique, s’entend.

Cette chronique étant basée sur l’actualité, vous allez forcément voir passer ici des patronymes appartenant parfois à des rubriques moins nobles que la Science, l’Histoire ou la Politique. Nous sommes donc aujourd’hui dans la rubrique « peuple » comme on ne dit pas en français, avec le (mini) fait-divers du jour, qui concerne un homme condamné par la justice à verser des indemnités à son ex-compagne pour avoir publié (entre autres) sans son accord les lettres d’amour qu’elle lui envoyait.