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Après Dusautoir (Thierry) que ce site avait choisi de mettre à la Une quelques jours avant sa nomination de meilleur joueur de l’année, voici Rugby, suite et fin (c’est promis) avec  l’un des piliers de l’équipe de France  et probablement le joueur le plus original, étymologiquement parlant. Ce bayonnais (de naissance) – biarrot (d’équipe) – palois (de formation) représente en quelque sorte l’hypoténuse du triangle rugbystique basco-béarnais. Malgré les apparences d’un nom que certains jugent déconcertant, nous avons bien affaire à un joueur français. Enfin…basque. C’est dire.

Week-end d’adoubement pour l’ex-impétrant désormais récipiendaire de la candidature socialiste à l’élection présidentielle. Les media en profitent pour patauger dans le néologisme, dans des efforts désespérés pour créer un nom commun ou/et un adjectif qui puisse qualifier les partisans de telle ou telle personnalité politique. Y-a-t-il des règles en la matière, ou, par défaut, des traditions linguistiques? Jetons nous à l’eau.

« Grèce, Europe et Démocratie »! Voilà pourquoi il faut sauver le soldat Hellène, autre nom -grec, du coup- de la Grèce. Le commentaire vient d’un intervenant régulièrement invité par les télévisions (en gros, il y a en France trois économistes, deux profs d’histoire et quatre philosophes, toujours les mêmes). Or, s’il est avéré que c’est bien grâce à la civilisation de ce pays que l’on doit l’idée de la démocratie et le nom de l’Europe (1), le mot « Grèce » n’est pas grec, puisque les grecs disent ‘hellène’. Voyons donc ce que cache la belle hellène.

Ainsi donc, c’est Giulia! En tous cas, si l’on en croit la majorité des (vraies?) rumeurs et (fausses?) spéculations sur le prénom de l’héritière Sarkozy. Giulia, c’est beau comme un modèle d’Alfa Roméo, dont c’est d’ailleurs le nom d’une berline sportive fabriquée par la firme italienne dans les années 70…Ici, nous allons parler de la ‘carrosserie linguistique’ de ce prénom, qui se trouve au coeur d’une immense famille de mots, à laquelle nous allons rendre justice tout de suite.

C’est la semaine commémorative de Georges Brassens; toutes les chaines radio et télé vous en parlent avec quelques jours d’avance sur l’anniversaire de sa naissance (21 octobre 1921) et de sa mort (29 octobre 1981). Des dates d’une similitude presque aussi précise que les lieux qui y sont associés: le chanteur est né à Sète (ce dont personne ne doute), mort à St Gely du Fesc, l’une et l’autre de ces villes étant dans le même département de l’Hérault, et pourtant Georges porte un nom…landais!