Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Malgré les apparences et la coïncidence de l’expression, le sieur Jean-Claude Mas, dont les thèses sur les prothèses semblent bien contestables, risque un jour de dormir ‘en cabane’, et ce n’est pas un hasard, en tous cas étymologiquement. Un ami hispanisant me faisait remarquer l’autre jour, après avoir vu quelques déclarations effrontées du monsieur à une chaine de télévision, que ce patronyme devait avoir une signification espagnole, car, disait-il, «ce mec est…trop!», jeu de mots en forme de clin d’oeil sur l’adverbe espagnol ‘mas’.

En ce moment, c’est un peu l’enfer pour Paradis, obligée de sortir d’une vie conjugale sereine pour se justifier dans les media sur une possible séparation…J’en conviens, l’événement a un intérêt relatif, inversement proportionnel à l’étymologie d’un patronyme finalement assez répandu et apparemment très enviable. En effet, quel bonheur de porter un nom qui évoque la joie parfaite et la félicité éternelle! Seulement voilà, le vrai sens du mot est-il réellement à la mesure de l’évocation?

34, c’est le nombre de pays différents dont des internautes se sont connectés ces deux dernières semaines, du Luxembourg au Maroc et du Canada au Viet-Nam.
Merci à tous ces fidèles amoureux de l’étymologie, qui peuvent recevoir, comme vous qui lisez ces lignes, une étude personnalisée (dossier de 7 pages)
de leur propre patronyme (ou de celui de votre belle-famille, voisin, collègue de bureau, etc…) en permettant à ce site de continuer un clin d’oeil
sur l’actualité.

A la demande de nombreux lecteurs, je signale que vous pouvez consulter tous les noms ou termes déjà traités en cliquant sur ‘archives’, dernier mot en
page de la page (dans la marge noire!): vous trouvez le classement chronologique, mois par mois, année par année, de tous ceux qui font encore le buzz
(surtout politique) depuis l’année dernière.

N’oubliez pas de cliquer sur ‘commander’ (en haut à droite, cette fois) .A demain!

C’est une histoire qui a failli être une vraie galère: en octobre 2009, une jeune néerlandaise de 15 ans est placée sous la tutelle des services de protection de l’enfance; obstinée, elle réussit néanmoins à larguer les amarres en janvier 2010 et vient de boucler un tour du monde à la voile en solitaire, devenant ainsi la plus jeune navigatrice à réaliser un exploit qui ne sera pas homologué pour cause de minorité.

Il y a des gens qui n’ont pas de chance; le «capitaine déchu» du paquebot Costa Concordia en fait partie. Non pas que je sois apte à juger de ses compétences maritimes, tenons-nous en à la stricte étymologie, et le pauvre vieux devait forcément «déraper» (ou faire déraper son bateau) un jour, puisque telle est l’origine de son nom!