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Ainsi donc un film français aura battu toutes les productions américaines, et ce n’est que justice d’entendre et de réentendre les jubilations méritées des ‘oscarisés’. Il convient donc de ne pas oublier, aux côtés de John Gardener (Jean Dujardin), Michaël Cohen (Michel Hazanavicius) ou Tom Long (Thomas Langmann) , l’un des trophées les plus discrets – et pourtant le plus sonore – celui de la meilleure musique, que l’on doit au compositeur breton Ludovic Bource, qui fut élève du Conservatoire briochin (St Brieuc) après quelques leçons d’un accordéoniste de Loudéac. Ce Bource devrait donc peser de plus en plus lourd dans le métier, d’autant que, pour une fois, la phonétique et l’étymologie du patronyme se rejoignent: Bource, c’est Bourse!

Joyeux anniversaire, Robert…On ne vous l’a peut-être pas dit, mais nous fêtons ces jours-ci la sortie mondiale d’un film muet en noir et blanc, réalisé par deux français, avec un personnage qui porte le nom d’un site végétal, il s’agit de…’Robin des Bois’ bien sûr, première mouture de 25 versions différentes jusqu’à nos jours. C’est en effet au printemps 1912 que sort sur les écrans américains le «Robin Hood» d’Etienne Arnaud et Robert Blache (notez bien leur nom, parce que, à part çà…), pellicule inflammable qui prend la relève d’une probable légende orale sous forme de ‘pastourelle’, ballade écrite par le trouvère picard Adam de la Halle en…1282, ce qui nous fait du coup un 730è anniversaire de plus.

«L’Artiste» de la semaine est le réalisateur de ce film français en noir & blanc et…pas muet du tout, puisqu’il est mis en musique; disons qu’il est sonore mais pas parlant, ce qui fait une différence. On ne compte plus les récompenses glanées au fil des palmarès par ce cinéaste de génie (étymologiquement: celui qui crée, et il en a fallu -du génie- pour oser cette production)…Soixante-dix ans exactement après «Chantons sous la pluie», le public se passionne donc pour le même scénario (revoyez le film!), celui du passage du cinéma (vraiment) muet au parlant, croisé avec «Une étoile est née», la chute d’une star pendant l’ascension d’une autre dans son entourage.

C’est le patronyme du principal acteur d’un procès qui s’ouvre cette semaine, concernant une éventuelle erreur judiciaire au sujet de deux meurtres commis en 2001. Pour ne rien arranger (à la clarté des interviews télévisés), le prévenu en question porte les mêmes noms et prénoms que son propre père qui intervient régulièrement devant les micros et caméras, preuve que l’état-civil a parfois bien fait de décliner féminins, diminutifs et surnoms pour éviter les confusions! Mais revenons à notre Marc: voici quelques trucs pour comprendre ce Machin.

Petits arrangements entre ennemis: un certain Johnny Halliday, rocker français du milieu du 20è siècle, a décidé de ne pas porter plainte contre le «neurochirurgien des stars», comme l’a surnommé si commodément la presse française, très jalouse de son (ex)idylle avec Isabelle Adjani. Prétendument agressé après le coma américain du chanteur (sans qu’on sache pour autant de quel côté…de la joue on l’avait frappé), voici un exemple -étymologique- parfait d’une sonorité équivoque qui n’a rien à voir avec ce qui vient à l’esprit (y compris les mauvais jeux de mots comme ci-dessus).