
Il vient d’entrer dans l’histoire (du football, donc pas besoin de majuscule) en étant l’objet d’un montant-record pour un transfert de joueur, et n’en demeure pas moins intéressant (aussi) pour des raisons étymologiques: Il s’appelle Zlatan Ibrahimovic, et il est donc…suédois. Belle leçon de mondialisation linguistique, car, de plus en plus souvent, il sera impossible de préjuger de la provenance d’une personne par la simple sonorité de son nom, échappant ainsi à un éventuel ‘délit de sale nom’, pour faire un parallèle avec d’autres phénomènes. De plus, dans ce cas précis, il y a même six ou sept pays (ou nations, parfois) cachés derrière ce ‘géo-patronyme’ très largement européen, voire plus…