Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Comme dirait Wladimir (1): «Tant qu’il n’y a pas mort d’homme»…Il n’y a donc qu’en français que la péninsule (ex-) ukrainienne donne lieu à une homophonie (une ressemblance de sons) un peu douteuse, appuyée par des souvenirs scolaires plus ou moins précis: parmi les villes du coin figurent en effet Sébastopol, Yalta et Balaklava (pour les fanas du médiéval), rien que des endroits qui ont laissé des traces dans l’Histoire. Ces traces sont-elles pour autant les indices d’un…’crime’? Absolument pas, la Crimée n’est pas le pays des criminels!

Les Petites Femmes de Paris en lice viennent du sud (Anne Hidalgo) ou de l’est (Nathalie Kociusko-Morizet), en tout cas leur patronyme, donc celui d’un ancêtre plus ou moins lointain; d’un point de vue strictement linguistique, et sans caricature aucune, on s’en serait un peu doutés, pour l’une comme pour l’autre. La brune ayant déjà été présentée sur ce site*, voici donc maintenant une petite analyse de NGMKM (Nathalie-Geneviève-Marie Kociusko-Morizet, bonjour le budget cartes de visite). Si vous n’êtes pas russophone, la première partie n’est pas évidente; mais, avec quelques secondes de réflexion, vous allez facilement trouver le sens de la seconde. Essayez…

L’homme du jour est sans aucun doute Thomas Pesquet, qui aura su se faire un peu d’espace (dans les médias) entre pollution, Boeing en vadrouille et Ukraine. Or, de l’espace, le bonhomme devrait en avoir bientôt, et beaucoup, puisque il est le prochain spationaute français en partance pour la station orbitale internationale. Autant donc le mettre en lumière le plus possible, car si jamais il pleut en Bretagne ou si on découvre qu’un ministre a un compte en Suisse au moment du décollage de sa fusée, son nom risque de se perdre dans le vide intersidéral. Ce qui serait pécher, à tous les sens du terme.

La ‘case’ qui précède le pic de fréquentation télé (en français: access prime-time) est décidément la pierre d’achoppement des animateurs (-trices) qui s’y frottent; à moins que ce ne soit une roche tarpéienne, dont l’ascension ne fait que fracasser de Charybde en Scylla tous ceux qui s’y risquent, puisque la direction des programmes de France Télévision vient de faire sauter ‘l’Emission pour Tous’ présentée par Laurent Ruquier. Le havrais ne sera donc pas la pierre sur laquelle France 2 aura bâti son audience; c’eût été pourtant l’homme idéal pour cette mission, au moins étymologiquement.

Peu de patronymes ‘nouveaux’ dans l’actualité, à part sans doute le héros du feuilleton aéronautique du moment, un Boeing 777 de la compagnie Malaysian Airlines, toujours introuvable (à ce jour précis), mais qui peut, lui aussi, être un objet d’étymologie intéressant. Car, tout d’abord, Boeing, avant d’être une marque commerciale mondiale, est bien un nom de famille, celui, comme vous le savez sans doute, du fondateur de l’empire industriel américain situé à Seattle, Etat de Washington (qui, contrairement à ce qu’on pourrait croire, n’a aucun rapport avec la capitale fédérale et se situe donc à l’exact opposé du continent, donc côté Alaska). Surprise: Boeing est une histoire très européenne, pour ne pas dire…française!