
Comme dirait Wladimir (1): «Tant qu’il n’y a pas mort d’homme»…Il n’y a donc qu’en français que la péninsule (ex-) ukrainienne donne lieu à une homophonie (une ressemblance de sons) un peu douteuse, appuyée par des souvenirs scolaires plus ou moins précis: parmi les villes du coin figurent en effet Sébastopol, Yalta et Balaklava (pour les fanas du médiéval), rien que des endroits qui ont laissé des traces dans l’Histoire. Ces traces sont-elles pour autant les indices d’un…’crime’? Absolument pas, la Crimée n’est pas le pays des criminels!