Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Plus que quelques jours avant les élections municipales françaises: depuis plusieurs semaines, fleurissent (c’est un euphémisme, au propre comme au figuré) les affiches et tracts des différents partis dont les couleurs emblématiques et les logos vous sautent au visage à chaque poteau des feux de circulation. Or, au milieu de ces bannières criardes, se trouve parfois la tête d’un candidat ‘non-inscrit’ ou ‘sans étiquette’. Dans un contexte politique, le mot n’est pas sans humour, du moins étymologiquement.

Que vous y ayiez participé ou pas, ou même simplement fait attention, vous n’avez pu ignorer l’emballement éphémère* dont ont fait preuve les médias pour vous parler de la traditionnelle «Journée de la Femme», réduction erronée de l’expression «Journée des Droits de la Femme», ce qui n’est pas tout à fait pareil. Le devoir de l’homme étant de parler du droit de la femme, voici quelques précisions parfois assez inattendues, au sujet de l’une des quatre-vingt et quelques ‘journées’ internationales répertoriées dans l’agenda intime de l’ONU. La femme, son étymologie, mais tout d’abord son histoire.

C’est le mot qui court dans les rédactions, relayant ainsi les déclarations de beaucoup d’hommes politiques au sujet de l’ambiance du moment. Tout le monde surveille tout le monde: tant qu’il s’agit de piratages de masse (incontrôlables) comme des écoutes de réseaux téléphoniques ou informatiques nationaux, cela n’émeut presque personne; par contre, cacher son petit magnétophone dans la poche lors de diners en ville, c’est «de l’Inquisition», mot éminemment intéressant -d’un point de vue étymologique évidemment- et ce, à un double point de vue…

Avec le nom de famille dont nous allons parler aujourd’hui, nous allons grimper aux arbres, comme le fait actuellement la majorité du personnel politique (politicien) français, à cause d’une histoire d’enregistrements secrets qui ne manquent pas de piquant. En toute logique donc, tout cela n’ira pas bien haut puisqu’il s’agit de parler de Buisson, patronyme sorti des fourrés, d’un petit bosquet, d’une futaie, ou d’un taillis, comme l’indique la racine latine «bosconem», qui a donné naissance aux buissons, et par conséquent aux Buisson. Avec quelques ramifications, dont une branche grenobloise, les Buissonnet; une branche lilloise, les Dubuisson; et enfin une famille auvergnate, les Buissonnier, qui n’étaient pas des fanas de l’école, et dont nous allons reparler plus loin.

C’est l’homme qui aura fait le plus parler de lui en ce début de semaine. Allumez n’importe quelle radio ou télévision, vous n’y couperez pas: ce site vous expliquait, dès septembre 2012, l’étymologie de ce nom (autrefois) court et…’récemment’ francisé. Découvrez pourquoi en tapant nom et prénoms du bonhomme dans le champ de recherche en haut à droite.