
Plus que quelques jours avant les élections municipales françaises: depuis plusieurs semaines, fleurissent (c’est un euphémisme, au propre comme au figuré) les affiches et tracts des différents partis dont les couleurs emblématiques et les logos vous sautent au visage à chaque poteau des feux de circulation. Or, au milieu de ces bannières criardes, se trouve parfois la tête d’un candidat ‘non-inscrit’ ou ‘sans étiquette’. Dans un contexte politique, le mot n’est pas sans humour, du moins étymologiquement.