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Bon d’accord, toutes les occasions ne sont pas les meilleures, mais le nom que vous avez le plus entendu (ou lu) pendant toute cette semaine écoulée a été celui du jeune sympathisant (probablement pas ‘militant’) à la cause des écologistes qui s’opposent à la construction du barrage tarnais de Sivens. D’où quelques questions spontanées de lecteurs qui s’interrogent sur le patronyme du jeune homme décédé pour avoir voulu protéger les arbres…forcément!

Attroupement devant le Palais de Justice d’Amiens pour le ‘procès des Mille Vaches’, autrement la ferme industrielle dite ‘l’usine à bovins’ installée près d’Abbeville (Somme). « Comment se fait-il, m’écrit un fidèle lecteur, qu’on ait appelé ainsi cette ferme de Picardie, alors que le ‘Plateau’ du même nom se trouve principalement sur les départements de la Creuse et de la Corrèze!?». Bonne question, à laquelle on peut répondre par deux phénomènes linguistiques, l’un tout à fait ordinaire, l’autre un peu plus surprenant…

Beaucoup de lecteurs me questionnent sur l’actualité de la disparition tragique du PDG de la compagnie Total, Christophe de Margerie (et non de Marjorie, comme l’ont imprimé plusieurs journaux!). D’où vient ce nom, et quelle en est la signification? «Ne serait-ce pas une déformation de ‘marguerite’, mais alors comment expliquer ce nom à particule avec une fleur?» me dit un internaute. La réponse est simple (mais double): non seulement ce n’est sans doute pas un nom ‘aristocratique’, mais ce n’est même pas le sien…

L’affaire du jour concerne de nombreuses…affaires à venir, de celles qui semblent orienter une enquête sur de ‘nouveaux cas Thévenoud’, d’après le nom -en passe de devenir commun- du fugace Secrétaire d’Etat convaincu de ‘nomophobie’ (1). La presse parle de pas moins de soixante sénateurs (2) ou députés français concernés par des ‘oublis’ fiscaux divers. D’ailleurs, étymologiquement parlant, il y a peut-être une logique dans tout cela, au moins en ce qui concerne un ‘député’.

C’est le terme qui est en train de revenir en force à la Une des journaux, puisqu’on commence déjà à parler d’hécatombe, au sujet des prévisions les plus pessimistes sur la propagation du virus Ebola (1). Au-delà de la psychose (pas mal, également) de mauvais aloi entretenue par les (vraies) rumeurs (2), et dont il n’est pas question ici de négliger l’importance, on peut dire que, s’il ne s’agit «que» d’une hécatombe, cela n’est pas très grave. Rien de cynique dans cette affirmation: c’est seulement qu’elle ne concerne pas les humains.