
Pendant longtemps, la banque s’occupa d’argent, puis de placement(s), d’investissement(s) ou d’assurance(s), bref uniquement des effets ‘monnayables’. Par extension, et à l’image de ses coffres-forts, elle devint banque du sang, du sperme, d’images, ou de données; puis encore postale, en ligne, populaire et même alimentaire, se transformant alors en gigantesque guichet d’échange solidaire afin, simultanément, d’ouvrir et de régler son compte à la pauvreté, lors d’opérations courantes et très courues actuellement.