Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Le croiriez-vous? Le réveillon de cette année va être strictement le même que celui de l’année dernière (et de l’année avant, et de celle d’avant), au moins…étymologiquement. Alors, si vous faites partie des nouveaux lecteurs qui ont découvert ce site en 2014 (ou si vous voulez juste vous rafraichir la mémoire pour lancer la discussion pendant le repas) n’hésitez pas à taper le mot ‘réveillon’ dans le champ de rechercheq en haut à droite de cette page, tout simplement. Merci à tous ceux, Français, Belges, Brésiliens, Canadiens, Suisses, Américains, Allemands, Algériens, Espagnols, Marocains et Israéliens (par ordre numérique) qui ont consulté ces pages pendant les derniers mois. N’hésitez pas à participer aux commentaires, et Bonne Année à tous!

Ah, les pauvres vacanciers de Noël, injustement bloqués par une neige scandaleusement abondante en montagne! Heureusement, cela donne de la matière aux professionnels de l’information, qui s’acharnent à montrer la détresse hôtelière et l’inconfort de ces ‘naufragés de la neige’ modernes. Forcément modernes, parce qu’il y a quelques siècles, on les aurait retrouvés noyés, étymologiquement parlant…

Ah, cette fois, il va falloir nous dire si elle est froide ou brûlante, si elle sent bon ou si elle est grosse, selon que vous serez branché ‘chiens’ ou ‘champignons périgourdins’. Car le (très) cher tubercule vient d’un mot latin qui est ‘tufer’ (puis tuber, d’où le nom), qui donnera son nom à la pépite cabossée et noire des terrains calcaires, dûment dépistée par la…truffe d’un cochon ou d’un chien. On ne sait pas qui, du canidé ou du champignon, a donné son nom à l’autre, pour ce que l’on appelait au Moyen-Age une ‘protubérance anatomique naturelle’. Vous voilà au parfum, pour commencer.

Jacques a chancelé – l’hiver est toujours une période meurtrière – refermant ainsi l’une des pages de l’audiovisuel français. Le pyrénéen à la voix si particulière aura radioscopé des centaines de personnalités, devenant ainsi en quelque sorte le gardien fidèle de la Culture – de toutes les cultures – ce qui ne peut pas mieux tomber, y compris étymologiquement.

Pour saluer sa disparition, ‘you can leave your hat on*’ quand même; le célèbre chanteur de blues et rock anglais vient de succomber à un cancer du poumon. Mais pourquoi, m’écrivent quelques lecteurs, avoir donné le nom d’une race de chiens à des humains? Est-ce à cause de grandes oreilles pendantes ou de leur poil roux? Ni l’un, ni l’autre évidemment; pas plus que ce Joe n’était le descendant d’un cuisinier.