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Pour une fois, voici une chronique non-étymologique mais passionnante d’un point de vue linguistique et médiatique. Vous avez peut-être entendu parler de cette histoire de phoque trop intéressé par les humains et qui est venu, depuis des mois, sauter sur la planche des surfeurs du bassin d’Arcachon (entre autres) et jouer de ses yeux noirs avec les promeneurs de la côte atlantique; l’ex-brave mammifère affectueux s’appelle You.

Encore une déclaration à couper le souffle (ou au couteau?) de la part de l’ex-publicitaire bling-bling à la ‘Rolex’ scandaleuse; pour ceux qui auraient raté la dernière saillie de l’octogénaire tanné aux UV, il a récemment expliqué (enfin, affirmé) qu’il voulait simplement suggérer qu’on peut toujours réaliser ses rêves et que (c’est la dernière) «même un clochard pouvait économiser 1500 euro». Ce qui passe pour une ânerie aux yeux de beaucoup est, paradoxalement, très exact…étymologiquement!

A nouveau champion tout en jaune pour cette édition du Tour de France, le ‘kenyan blanc’ Chris Froome vient de voir valider sa victoire par le comité de lutte contre le dopage; le voici donc entré pour la seconde (deuxième?) fois dans la légende du vélo pour l’éternité (sauf accident d’ici quinze ans…). L’homme est donc de naissance et de (demi) nationalité kenyane (et non pas sud-africaine, comme certains l’ont dit à la télé*), même s’il court désormais sous licence britannique, terre d’origine de ses père et grand-père, donc forcément aussi de son nom, un patronyme qui n’a pas cessé de poser question et curiosité pendant tout ce mois de juillet.

Ben oui…il faudra un jour (très, très lointain) s’y faire: la planète ‘jumelle’ de la Terre, comme on la surnomme déjà très abusivement s’appelle donc Kepler…Mais on ne sait rien de sa surface, de son éventuelle atmosphère ni de la présence d’eau, sauf qu’elle tourne autour d’une étoile en à-peu-près 380 jours et qu’elle est moitié plus grosse, tu parles d’une jumelle! Ou alors, fausse; disons soeur peut-être, ou au moins cousine, mais qui le saura de notre siècle?

Seconde (ou peut-être deuxième?) victoire d’étape pour un cycliste (ou un coureur?) français dans le Tour du même pays: profitons-en pour (le) célébrer et analyser un patronyme supplémentaire à mettre dans ces archives déjà très fournies (*). Car ce Bardet est un mot de poids, à tous points de vue semble-t-il, mais aussi un gage d’endurance, pas seulement sur les routes mais dans la vie:  »l’autre » homonyme déjà apparue dans les médias (en 2012) était le nom de la bretonne doyenne des français (114 ans).