
Vite, vite, qu’on se le dise et le répète: l’acteur américain sus-nommé avait déjà été propulsé (à raison) au firmament du cinéma mondial pour avoir osé jouer dans le film «Retour à Brokeback Moutain», une histoire non pas de ‘cow-boys gays’ mais de simples bergers (garder des moutons dans la montagne, ça ne fait pas de vous des éleveurs texans, beaucoup s’en faut probablement); bref, à l’occasion de la sortie de son dernier film, «La rage au ventre» (une histoire de boxe), on n’entend plus que du ‘Guylaine Hall’ partout. Or, le monsieur n’est ni américain ni anglais, mais…suédois (d’origine, d’où sans doute la difficulté).