
L’actualité étant ce qu’elle est (et pas très souriante pour l’instant), tout est bon pour «faire diversion», c’est même pour cela qu’on l’appelle le fait-divers. Il n’y a pas que les Tabac-Journaux de banlieue qui se font cambrioler: la mésaventure est arrivée aujourd’hui au très chic (et élyséen) magasin (pardon, la boutique) de la marque de luxe. Petit rappel étymologique (pour ceux qui n’étaient pas là en 2011) sur le nom de celle qui restera la référence du bon goût français en matière de mode. Profitons-en, de notre côté, pour mener l’enquête…linguistique.