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La belle fille du Nord s’adjuge la couronne mondiale (un événement, depuis plusieurs décennies), après son parcours régional puis national depuis 2015. Il va falloir s’habituer à prononcer (ou écrire) correctement Mittenaere! Ou lire la chronique très complète en tapant son nom dans le champ de recherche ou ici:
http://www.etymo-logique.com/le-mot-du-jour/personnalites/mittenaere-iris/
Bonne lecture.

L’un des plus grands (géographiquement) pays du monde entre dans une nouvelle page de son calendrier, avec l’année du Coq, un animal cher aux patriotes français, grâce à un jeu de mots romain (la confusion -entretenue- entre ‘gallus’-le gaulois et ‘gallus’ le coq, d’où l’expression française, mais là n’est pas le sujet (*). Intéressons-nous ici au nom du pays lui-même, parfois désigné par une autre expression, un mot tellement commun qu’il n’en est pas du tout justement ‘évident’…

Il paraît que le prénom occupe presque la 1000ème place dans l’ordre des filles qui le portent, souvent jeunes en raison d’une ‘flambée’ statistique dans les années 2000, peut-être due à une sonorité poétique (?) et mythologique. Le mot fait en effet référence -a priori- à la dévouée et patiente épouse d’Ulysse, celle qui, bien a vant les conseils du petit père Bossuet, «cent fois sur le métier remettait (son) ouvrage», ce qui, dans la majorité de vos petits dictionnaires étymologiques, fait d’elle une ’tisserande’…En fait, c’est exactement le contraire.

«L’usine à gaz multicolore», «la verrue dans le paysage parisien» et autres joyeusetés éditoriales de la fin des années 70, fête en ce moment ses 40 ans d’expositions, de visites et de succès mondial. Comme quoi, que ce soit «l’horrible tour mécanique» (Eiffel) ou «la verrue -encore, mais cette fois avec un jeu de mots- du Louvre» (la Pyramide), nul n’est prophète en son pays et surtout pas en son époque, semble-t-il. Or, outre l’honneur d’avoir donné matière à des sketches d’humoristes passés (Fernand Raynaud) ou actuels (Chevalier et Laspalès), le nom de feu le Président de la République a toujours fait sourire, probablement en raison d’une sonorité inhabituelle.

Eh oui, c’est son véritable nom. Pas plus abbé (au sens propre du terme, il a d’abord été…’frère Philippe’ à son entrée dans l’ordre des Capucins), puis ordonné prêtre et devenu ‘Pierre’ dans la clandestinité de la Résistance, donc forcément pas son vrai prénom. On se dit alors que ce ‘grouès’ doit être bien loin de l’étymologie de son patronyme; pas du tout! Volontaire ou pas, le pseudo si l’on peut dire serait même la traduction exacte de ce mot régional.