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La dernière  »raffarinade », surnom affectueux autrefois donné aux saillies plus ou moins volontairement humoristiques du sénateur de la Vienne, est en train de devenir moins drôle aux yeux de la presse et de journalistes qu’il a fait copieusement huer et siffler lors d’un meeting de François Fillion au Futuroscope. A l’aise sur  »ses terres » (*) poitevines, le rondouillard ex-Premier Ministre n’a pas manqué d’ironiser sur la présence (inhabituelle, inutile?) de «nombreux» correspondants de presse sans doute davantage attirés par le  »Pénélopegate » que par la relance de la campagne du champion de la droite. Or, une fois de plus, c’est dans l’étymologie de son nom que se cache l’ironie ultime de l’histoire…

«Explosion à Flamanville, aucun risque nucléaire», «Relance de la ‘vieille’ centrale de Fessenheim», et incendie à Cattenom (opportunément intervenu alors que tous les médias ne s’intéressaient qu’à une histoire de salaire d’assistante parlementaire), tout va bien mais les Cherbourgeois ont peut-être intérêt à déployer leurs…parapluies, la presse à passer son chemin, et les citoyens à regarder ailleurs, sauf peut-être dans les fondations de ces centrales, étymologiquement bien sûr.

Donald Trump encore…Non content de faire la Une des journaux pour avoir sermonné une enseigne de mode qui refusait de vendre les créations de sa fille (ah, ces américains! Imagine-t-on en France un homme politique passer un coup de fil à une société pour faire embaucher sa femme ou sa fille?), le tout-nouveau Président des Etats encore Unis doit se justifier de porter -ou pas- un peignoir quand il est chez lui. Question capitale en effet que celle de savoir…d’où vient son ‘peignoir’, étymologiquement parlant bien sûr.

L’Amérique a des traditions bien curieuses: outre le fait de sauver de la guillotine tous les mois de décembre une pauvre dinde qui finira peut-être quand même sa vie dans les casseroles de la Maison-Blanche (depuis le temps, vous imaginez le nombre de vieilles dindes dans les poulaillers présidentiels?), les descendants de nos ancêtres transatlantiques se font un devoir, tous les 2 février, de perturber le sommeil d’une marmotte, histoire de voir quelle sera sa réaction…

C’est l’un des derniers soutiens -à ce jour précis- de l’ex-Premier ministre François Fillon, dans  »l’affaire Pénélope », un discret sénateur de Vendée dont le nom est donc apparu plus régulièrement sur les écrans et qui a posé question à quelques lecteurs de ces chroniques. Contrairement à ce qui est venu spontanément à l’esprit de quelques-uns, aucun rapport avec le «taïaut, taïaut» des chasseurs (de toutes façons, il manquerait une syllabe, sauf à imaginer une abréviation d’un peu probable ‘heureux taïaut’); il s’agit tout simplement d’une histoire de taille…