Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

En première intention, le ‘couscous’ de mon titre était au singulier (et même bien singulier, pour le FN), donc je ne risque rien à mettre ‘crétins’ au pluriel, surtout quand on sait que ce mot sert à Florian Philippot pour qualifier certains militants frontistes…En deux phrases, rappel de l’histoire (peut-être pourrait-on s’arrêter simplement à ‘anecdote’):

Le mot va peut-être largement revenir à la Une des magazines si l’opération de communication engagée par un éditeur espagnol (!) a du succès. En effet, afficher sans complexe ce qui est encore une injure dans la bouche de la majorité de la population revient à une véritable provocation: les quelques tentatives médiatiques de ces dernières décennies l’ont été sous couvert d’alibis artistiques, dans des titres de roman ou de films (1). Mais les créatifs de ce cabinet barcelonais ont décidé d’en faire cette année un…calendrier.

La femme du jour, et sans doute des semaines et mois à venir dès que les épisodes cycloniques (se?) seront épuisés et les journalistes revenus en métropole, est la  »Secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes »…Rien que la formulation de la fonction est déjà une révolution paritaire en soi, l’ordre habituel de l’expression consacrée pour désigner l’Humanité ayant toujours été ‘les hommes et les femmes’! Voilà donc une ministre (1) qui commence par mettre un curieux désordre, sachant en plus que ses prochaines interventions concerneront l’ouverture (jadis si controversée) de la Procréation Médicalement Assistée à toutes les femmes, quelle que soit leur situation conjugale.

«Vous me ferez un mot, pour la rentrée?» Voilà, c’est fait! Huit lettres, pas mieux: le dernier à avoir acquis une notoriété historique n’en comportait que…sept (karcher). Hormis le plus fort de tous, attribué (à tort) au Général Cambronne, le mot de cette fin d’année 2017 était pourtant déjà dans l’Histoire en tant qu’adjectif indissociable de certains rois mérovingiens (7ème siècle après JC) que la légende romantique pseudo-républicaine du 20ème siècle représentera dans les manuels scolaires affalés sur les chariots royaux. Mais les Rois Fainéants étaient-ils vraiment des rois fainéants?

A défaut de patronyme très médiatisé en ce moment (*), impossible de ne pas entendre sur l’une ou l’autre des chaines tv dites d’info-en-continu le sempiternel refrain d’une ‘apocalypse’ annoncée, actuelle ou à venir en fonction du trajet des perturbations atmosphériques majeures qui dévastent actuellement la Caraïbe. Car, ‘madame-monsieur-bonsoir’, à la télé, le paysage est forcément «apocalyptique», tout comme les mesures de sécurité sont «drastiques», les condamnations toujours «sans appel», les retours de week-end, «une hécatombe», et l’émotion inévitablement «palpable». Or, aucun de ses termes n’a d’autre raison que de pauvres habitudes de langage; vous allez voir: avec ‘apocalypse’, c’est une vraie révélation!