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Quarante ans déjà, et une concurrence (médiatique) dans la rivalité du souvenir avec Johnny Hallyday, une confrontation par ailleurs déjà réelle de leur vivant. L’homme dont on dit qu’il avait l’obsession de ne pas vieillir aurait quasiment 80 ans aujourd’hui; on se demande alors si, par respect et à l’instar d’une Marylin qui restera toujours (de justesse) jeune et belle, il ne vaut pas mieux garder pour toujours l’image du frénétique danseur de ‘Belles, Belles, Belles’; et pourtant, c’était mal parti, même étymologiquement!

Actualité pauvre (et inversement peut-être) en cette semaine hivernale, où le journalisme d’investigation consiste à mesurer l’épaisseur de neige qui tombe en février (rires des Canadiens), le temps que tiendront les hommes politiques dans les allées du Salon de l’Agriculture avant d’essuyer les premiers sifflets, ou combien un footballeur qui s’est tordu la cheville va faire perdre de millions s’il ne joue pas dans la semaine. Heureusement, il y a le passé pour faire (re?)vivre le présent…

Vous l’avez vue sur beaucoup de serre-têtes et de combinaisons pendant la quinzaine olympique, cette lumineuse marque à croquer, avec un carré de chocolat mondialement connu et dont il est à peine besoin de préciser l’origine, étant donnée la ‘transparence’ du terme. «Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les racines pour l’expliquer se devinent aisément», comme aurait pu le dire Nicolas (1). Et pourtant, si l’on en croit les vrais connaisseurs, il n’est de bon chocolat que le chocolat noir, toutes les autres variétés n’étant que de vulgaires mélanges de lait et de graisses animales ou végétales perdues dans la noblesse du cacao…

On parle de lui dans ces colonnes depuis 2014 (il méritait déjà le podium pour l’Histoire lors des précédents J.O d’hiver), car il a soulagé de nombreux sportifs de salon, exigeant, un verre à la main, que le compteur des médailles françaises commençât à tourner. Mission accomplie et même pulvérisée, pour ce bi-athlète né dans la neige (sans blague?) des Pyrénées. Aujourd’hui, que ce soit aux Championnats du Monde de sa spécialité ou à la poursuite de l’or olympique, il enchaîne victoire sur victoire et ne laisse pas une grande fourchette d’action à ses concurrents. Et pourtant…

C’est tel suspect qui insulte la Cour au risque de ‘dépasser la ligne rouge’; c’est tel homme politique qui fait semblant de croire qu’il n’est pas enregistré et fait des déclarations ‘à la limite de la ligne rouge’; et même la météo qui provoque dans les rivières des crues ‘au…bord de la ligne rouge’! On se demande un peu d’où sort ce repère, manifestement symbolique, qui a l’air de définir un degré de risque ou une marque qu’il ne faut pas dépasser. Ne serait-ce pas la décoloration d’une plus ancienne ligne?