Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Actualité oblige, deux noms reviennent en ce jour de 2018 à la Une des médias, choix rédactionnel de ce site qui cherche le vrai sens des noms cités au fil de l’Histoire (et des histoires). Pour mémoire, et avec les réserves d’usage sur la date où ces chroniques ont été rédigées et…commentées par nos lecteurs, (re)découvrez quelques surprises en tapant Sarkozy (2014) ou Hortefeux (2010) dans le champ de recherches en haut à droite de cette page!

«Monsieur, Mlle Hepburn arrive…». Et le couturier, qui s’attendait à voir débarquer l’indomptable actrice Katharine dans les salons, rencontre pour la première fois la frêle Audrey (pas franchement la même ‘tronche’) et tout change. Elle deviendra pour des décennies l’égérie (bénévole!) de l’élégance à la française (*) en portant, de film en film comme dans la vie, la ligne épurée des vêtements imaginés très tôt par le petit…Hubert James Taffin de Givenchy, héritier de véritable noblesse du nord de la France. De quoi rajeunir la mode de l’époque; forcément rajeunir.

Avec une certaine logique, la mémoire de l’astro-physicien planera pendant longtemps au-dessus du monde scientifique; non seulement grâce à ses travaux sur la théorie du «rayonnement» (des trous noirs, pour simplifier), mais aussi, en dépit d’une maladie réputée fatale et qui lui laissera pourtant 76 ans de vie, grâce à l’étymologie de son nom. D’origine anglaise, forcément anglaise, mais encore?

Si l’équipe ne gagne pas, c’est de «la faute de l’entraineur» (puisqu’il ne touche pas le ballon…). Le concept vaut ce qu’il vaut pour un néophyte hermétique au sport des hommes qui se jettent par terre pour se frotter les uns sur les autres quand ils gagnent et qui prennent des coups de la part de leurs supporters quand ils perdent. Dans un tel contexte, nul doute que la tête (et les jambes) dudit entraineur ne fait généralement pas long feu…

Et boum! Il n’aura fallu que quelques (dizaines de) secondes aux athlètes paralympiques pour ‘ouvrir le compteur’, comme disent les médias, des médailles françaises. C’est le cas de la skieuse de Chambéry (Savoie, ça aide) qui s’est adjugé d’emblée la récompense en or, presque simultanément avec son collègue de biathlon Benjamin Daviet (or également). Bloquez votre respiration: avant la fin du jour, le jeune Arthur…Bauchet (et non Bochet, comme l’a écrit rapidement une chaine d’infos), 17 ans, décroche une médaille d’argent…Bochet & Bauchet, on s’y perdrait, surtout étymologiquement!