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Pour un mariage, ce seraient les ‘noces de perle’, et le moins qu’on puisse dire c’est que l’humoriste en a enfilé pendant sa vie artistique et conjugale avec les Français. Même si l’une des plus cyniques (1) des maximes desprogiennes -si, le mot existe- était « Plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien », voilà un homme qui a largement défriché la langue française, et pour cause…

Bientôt l’entrée dans le tunnel (au sens propre) pour le dernier (au sens chronologique) projet ‘fou’ devenu réel du multi-entrepreneur et ingénieur canadien d’origine sud-africaine, impliqué dans le spatial touristique (Space X), l’automobile numérique (Tesla) et le train supersonique (HyperLoop) désormais sur le rail à sustentation magnétique. L’homme vient d’une famille installée (=émigrée) en Afrique du Sud pendant la colonisation, et donc, malgré les apparences, le nom n’est pas d’origine anglo-saxonne mais…germanique.

Oscar, Palmes d’Or, Ours d’or et autres récompenses, le cinéaste qui vient de disparaitre a pris une place majeure dans le 7ème Art mondial principalement au cours des décennies 1970-1990. Présenté partout comme le «réalisateur américain d’origine tchèque», l’homme est en fait beaucoup plus énigmatique qu’il n’y parait, en tous cas étymologiquement et, pour une fois, généalogiquement parlant: en effet, il s’appellait en fait…Jan Tomàs Kohn!

Contrairement à ce qu’imaginait un sketch des Inconnus, le prénom de Miou n’est pas Miou, mais elle a plutôt gagné au change grâce à ce surnom inventé par Coluche pour se moquer de la tristesse ‘miolle’ de la jeune tapissière de formation embarquée dans l’aventure de la bande du Café de la Gare. Difficile en effet de faire carrière (sauf peut-être dans la chanson réaliste des années 1930) en s’appelant à l’Etat-Civil Sylvette Herry…

Etes-vous dans le Trombinoscope mondial (en v.o: FaceBook), où vous avez pu spontanément et naïvement laisser les traces de votre exhibitionnisme inconscient? Et comment ne pas comprendre que, si on ne veut pas que des informations ou des photos personnelles circulent à travers la planète (a-fortiori dans la cour du lycée), il suffit…de ne pas les donner (ou de ne pas les ‘partager’), au risque qu’une technologie pas encore activée ne les exploitent encore davantage demain?