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Les histoires de succession sont souvent compliquées, et celles de ce patronyme encore plus peut-être. Vous avez peut-être laissé passer sous quelques faits-divers météorologiques une décision concernant l’affaire lot-et-garonnaise des ‘Reclus de Montflanquin’, cette famille du cru, toute entière retrouvée sous emprise d’un ‘gourou’ au début des années 2010, et qui vient de perdre son château ancestral, probablement percé de nombreuses fenêtres, au moins étymologiquement…

Avec un, c’était déjà pas mal; mais maintenant on voit des Trump partout, dont un ‘tropical’, surnom de l’homme politique brésilien qui est en train de secouer l’électorat -et peut-être la stabilité- de son pays. Nostalgique de la dictature militaire, il a également ‘bénéficié’ de l’effet médiatique d’une tentative d’assassinat pendant sa campagne mais son arrivée au pouvoir pourrait surtout perturber la Bourse nationale, du moins étymologiquement.

Elle porte un nom -et un prénom- de déesse grecque mais se défend comme une belle diablesse dans les médias au sujet d’une présomption de surfacturation(s) lors de la dernière campagne présidentielle d’un candidat. On pourrait presque y ajouter un physique de tragédienne aux noirs cheveux et au regard de feu, dont le profil collerait parfaitement avec une naissance athénienne; mais évidemment, rien de tout cela, y compris et surtout étymologiquement…

Dur, dur, de saluer dans ces colonnes l’arrivée (de la rue d’à côté: c’est l’ancienne ministre déléguée de Gérard Collomb à l’Intérieur) de la nouvelle ministre à la Cohésion des Territoires, etc (je résume). Difficile également de se tromper sur l’origine de son nom, puisque ce Gourault caractéristique des bords de Loire (ou Gouraud plus au sud, en Vendée) a un rapport direct avec le verbe français -plutôt ancien- souvent écrit (se) gourrer, mais dont l’orthographe académique est gourer, ce qui n’arrange pas vraiment les choses…

Ce n’est pas qu’on n’aimerait pas oublier certains noms, mais -actualité oblige- la presse ramène à la Une le patronyme du « Dutroux français », via un livre de confessions de…son fils Selim. Le bouquin sort en libraire au moment de la première confrontation depuis des années entre le violeur (coupable?) et sa femme (complice?) et ne cache rien de comportements qui rappellent ceux d’un certain Henri-Désiré (!) Landru, l’homme qui brûlait les morceaux de ses victimes dans un four…Four, vous avez dit four?