
Carlos, le retour. Ou la suite (la fuite?). Pas étonnant puisque toute l’histoire du bonhomme est celle d’une (é)migration; pas uniquement depuis un bureau de Boulogne-Billancourt vers un commissariat de Tokyo et retour, mais d’un village du Liban vers la frontière ouest brésilienne, côté Bolivie. Ce descendant d’un négociant en caoutchouc (en attendant la carrosserie à monter sur les pneus) prendra un prénom éminemment ‘intégré’: à la place de Charles, ce sera donc non pas Karl (on est au Brésil, largement germanisé dans l’Histoire) mais logiquement Carlos…Et Ghosn alors?