
Actualité sportive: dans la lutte fratricide (forcée) entre compatriotes français lors des huitièmes de finales du Masters de Paris, le tennisman Benoît Paire n’a pas mangé son pain-bénit (même mot que Benoît, contraction du latin ‘benedictus’); les deux mots font la paire, mais Paire, c’est pas pareil! Ni pareil que pareil d’ailleurs…L’explication en (re)lisant la chronique à lui précédemment consacrée (2016) en tapant son nom dans le champ de recherche. Idem pour son ‘tombeur’ Gaël Monfils, que vous trouverez avec son ‘frère’ linguistique, Bonfils (Xavier)!