Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Hommage à une belle paire, celle qui a gagné les Masters de tennis de Londres, en commençant par le patronyme le plus apparemment énigmatique des deux; l’autre (Herbert) est très simplement la notation de deux racines ‘typiquement’ germaniques conservées telle quelles en français, ‘her (ou hari)’ + ‘berth’, soit l’idée de l’armée, suivie d’un adjectif qui signifie brillant ou illustre. Petite armée mais brillante victoire donc, autant dire un véritable cadeau de Dieu, y compris étymologiquement!

Actualité historique: pour tenter d’endiguer les révoltes (la révolution?) de la rue au Chili, les différents partis politiques se sont mis d’accord pour réécrire une Constitution nationale mise en place par feu le général Pinochet, « Chef suprême (et bourreau) de la Nation chilienne » pendant plus de quinze ans à la fin du 20ème siècle. Quel intérêt de s’intéresser à cet homme sur un site d’étymologie? C’est que le senor Augusto à un nom bien…français!

Ce n’est pas un homme politique, bien qu’enfant, lui aussi, de la très productive Creuse, mais il aura laissé dans les annales du cyclisme national une trace presque plus forte que les ‘véritables’ vainqueurs du Tour de France, lui qui ne l’a jamais gagné! Les Français n’aimant rien tant que porter aux nues ceux qui les séduisent pour les dénigrer aussitôt, l’éternel rôle de second plus ou moins malchanceux ne pouvait que toucher les émotions superficielles de la France profonde en voyant que Raymond avait tout à leur donner, y compris étymologiquement.

« Alles Gute zum Geburtstag » (Joyeux Anniversaire) aurait sans doute dit J.F Kennedy en hommage à la cité des ‘Berliner’, malencontreux ‘berlinois’ qui désignait davantage un beignet local (eine berliner) qu’un natif des rives de la Sprée (Berliner, tout court, ce qu’il n’était pas d’ailleurs) mais l’intention y était. Les feux d’artifice une fois éteints, ce n’est pas une raison pour considérer le trentenaire de la chute du mur comme un pétard mouillé. Et pourtant cela se discute, en tous cas étymologiquement!

Il fut un temps où « Une Suédoise à Paris » (titre authentique d’un des premiers films dits érotiques des années 1970) ne suscitait pas tout à fait les mêmes réactions -bien que parfois violentes- de la part des spectateurs. Pour la jeune militante dont le nom vient de la région d’Uppsala (nord de Stockholm), l’éventail va de l’admiration la plus inconditionnelle au rejet le plus instinctif, les un(e)s et les autres se situant de façon très caricaturale dans deux tranches d’âge opposées.