Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Cette semaine sera l’occasion d’un nouvel événement officiel puisque se tiendront de nouveaux ‘Accords’, terme en principe historique comme les Accords de Münich, de Latran ou de Grenelle. Or, la nécessité de multiplier les concertations sans doute (ou d’oublier qu’on n’a pas pu tomber…d’accord?) oblige à abréger l’expression pour ne retenir que le site des discussions. On a donc désormais le Grenelle (1) de l’Environnement par exemple et aujourd’hui un ‘Ségur de la Santé’ au sujet des hôpitaux.

Grand acteur et petit nom, c’est ainsi qu’on pourrait résumer la carrière de ce comédien, le seul qui aura eu le privilège de commenter les fesses (et le reste) de Brigitte Bardot (« Le mépris » de J.L Godard). Aussi à l’aise dans la défroque d’un prêtre réfractaire recueillant la tête coupée de Marie-Antoinette (*) que comme vendeur de pianos romantique à Rochefort (*), le hasard a donné à ce fils de violoniste, né à Paris, un patronyme italien venu de…Suisse.

Ce ne sera évidemment pas possible pour le Tour de France, certainement difficile pour les matches de football, problématique pour le Grand Prix de Belgique de formule 1, et en tous cas « sans intérêt pour Roland-Garros », si l’on en croit les récentes déclarations de l’ex-vainqueur dudit Tournoi Yannick Noah qui ne veut pas « jouer à huis-clos ». Mais d’où vient cet ‘huis’, étymologiquement parlant?

Selon certains médias, la capitale française a échappé à une insurrection, peut-être même à un coup d’état si l’on en croit les messages postés sur les réseaux sociaux par cet artisan du Vaucluse devenu une personnalité médiatique dès le début du mouvement des Gilets Jaunes (qui le menacera de mort par la suite). Interpellé, gardé à vue pour avoir menacé «d’assiéger Paris avec l’aide d’armées citoyennes (venues) de différentes provinces », puis relâché…pas de quoi apparemment lui jeter la pierre, sauf étymologiquement!

A défaut d’actualité ‘humaine’ sur les patronymes, un autre mot qui revient régulièrement dans le bilan -provisoire!- de ces « 55 jours de confinement » (c’est beau comme un film avec Charlton Heston) concerne le milieu du sport. En l’absence de salles accessibles, beaucoup se sont mis (temporairement?) au jogging et d’autres ont ressorti les haltères de la cave après un dépoussiérage complet. Au fait, un haltère ou une haltère?