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Avec ‘pandémie’, ’quatorzaine’, ’confinement’, ‘masque’, ‘écouvillon’ et quelques-uns encore (1), c’est l’un des mots que ce début d’année 2020 aura mis à la Une des médias, l’un des rares à avoir gardé sa nationalité anglaise. Non pas que l’époque rechigne aux tweet, data, smartphone et autre imports linguistiques, mais quelques courageux journalistes se risquent de temps en temps à traduire en un ‘foyer de contamination’ probablement trop effrayant et pourtant plus adéquat. De plus, il y avait déjà un mot idéal dans la langue française!

Déclarations ministérielles, suite (et sans doute pas fin): «…toute autre information à ce sujet -déconfinement, masques, etc- ne serait que fausse rumeur… » (Muriel Pénicaud, ministre du Travail de la République Française; Sibeth N’Diaye, porte-parole du Gouvernement, entre -beaucoup d’-autres). C’est clairement et très distinctement dit devant toutes les caméras et ça n’est pas français, du moins si l’on suppose que les déclarant(e)s souhaitaient probablement dire exactement le contraire: partant du principe (élémentaire) qu’une rumeur est une fausse vérité, une fausse rumeur se retrouve forcément être une véritable information…

« Les Chinois ont toujours contaminé le Monde » (ou le monde?)…Pour autant que la traduction française n’ait pas davantage de sous-entendus que la déclaration américaine, voilà qui propulse Michaël Richard Pompeo à la Une, digne Secrétaire d’Etat de son Président, peut-être même étymologiquement!

Ne nous voilons pas la face, ce n’est pas avec cet article que vous allez apprendre ce qu’est un masque…Mais, comme la chose est en passe de venir l’objet le plus recherché -voire le plus précieux- de l’année, autant chercher à le faire tomber pour découvrir sa véritable origine, en tous cas linguistique. Car, contrairement aux adaptations de bonnets de soutien-gorge (authentique!) dont les Japonais sont devenus friands, il n’y a ni motif ni même couleur sur un ‘vrai’ masque…

Contrairement à ce que pourraient laisser croire ses oeuvres, baptisées ‘+’ (2011), ‘x’ (2014) ou ‘/‘ (2017), l’homme n’est pas mathématicien mais chanteur et compositeur à succès. S’il (re)vient à la Une des journaux britanniques en ce moment, ce n’est pourtant pas pour des raisons musicales mais…patronales, le(s) restaurant(s) dont il est propriétaire ayant décidé de prendre en charge les salaires des employés en temps de crise au lieu de faire appel aux subventions nationales. Mais l’homme n’est pas du genre à suivre le troupeau; sauf peut-être étymologiquement!