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…’commun’ à mettre entre guillemets puisqu’elle voulait dire ordinaire, peu connu, alors qu’il s’agit évidemment d’un nom ‘propre’. Enfin, pas tant que ça peut-être car la demoiselle porte certainement un toponyme, un nom de lieu qu’il faut commencer par prononcer correctement…

En effet, contrairement à ce qui est déjà trop tard pour corriger, on ne dit pas (théoriquement) Diane ‘L’air’ mais au moins ‘L’aire’ et même si possible ‘Leïre’, puisque la provenance du  mot est le sud, territoire d’Occitanie où l’on dit Blaye comme maille et Peyrehorade (1) comme peille! Sans forcément posséder (encore) tous les détails de son pedigree, raccrochons-nous d’abord à la logique géographique du berceau paternel, qui vient confirmer la direction de nos recherches puisqu’il est dit originaire de Camargue, et plus précisément de l’actuel département du Gard.

Du coup, s’il n’y a pas trop de doute sur l’accent local, on ne sait quand même pas vraiment dans quel type de lieu planter cette racine:  peut-être, disent certains, à une idée d’aire justement, au sens d’un airial comme on dit aussi dans les Landes, c’est-à-dire une surface avec une maison et éventuellement un pré ou un bosquet. En Provence, l’airial en question n’est pas forcément bâti et peut représenter tout simplement un terrain, et même un terrain en friche, une terre inculte en fonction du type de sol.

On retrouve l’idée dans certains noms comme Leyrit en Ardèche ou en Lozère, où le mot prend son origine dans l’adjectif latin ‘latericum’ (= sur le côté; comme latéral) à savoir un terrain en pente (sur le côté, quoi) donc difficile à cultiver et abandonné aux ronces…A l’autre azimuth de l’Occitanie, tous les Aquitains savent bien qu’au débouché du Bassin d’Arcachon, une tranquille rivière des Landes (et son affluent) porte le nom de ‘Leyre’ (2); mais la…source est un peu loin pour venir mouiller jusque là…Peu probable également de trouver chez les joueurs de fifre du coin nimois un ‘leiris’, un joueur de…lyre dont vous trouverez peut-être sur une page ou une autre la mention un peu facile.

Ne reste plus qu’à dire un mot d’un prénom de chasseur – enfin, de chasseresse puisque c’était celui de la déesse latine du monde sauvage – farouche cavalière chevauchant un cerf (3) dont le nom vient, pour les uns du mot latin ‘dies’ (dia) qui veut dire le jour bien qu’elle soit également maitresse de la Lune, pour les autres d’un dialecte sarde (jana) qui évoque une sorcière. Et, de fait,  (D)iana, c’est la sorcière de Buckingham; Diane (si vous habitez Poitiers), c’est la favorite d’un roi ou une chanteuse québécoise (si vous habitez le bois du-fresne). Mais comme dans toute sorcière il y a une fée, notre reine de beauté sera forcément celle de l’année. Même étymologiquement!

  1. Sale temps pour les valeureux « envoyés spéciaux » dans les Landes, non pas à cause des inondations mais pour faire comprendre à leurs collègues en plateau qu’ici (ou là-bas) on n’est pas à St-Germain en Lé…
  2. A tort d’ailleurs, à l’origine il s’agit de L’Eyre (l’eira, en gascon) mais on dit le plus souvent -et abusivement?- la Leyre, après fusion avec l’article.
  3. Oui, je sais. Mais si j’avais écrit ‘cervant’ une biche… 

…c’est donc au tour d’un fidèle successeur de prendre la charge de chancelier. Mine de rien, vous venez de lire en une phrase toute l’histoire étymologique des deux personnages politiques allemands de cette année: en ce qui concerne la ‘marque’, il s’agit bien sûr d’une allusion à Angela (1); quant au nouvel homme chargé de la gestion du pays, son nom est celui d’un titre accordé au lointain descendant d’un ancêtre administratif.

S’il y a plusieurs sons possibles qui s’approchent de ‘scholz’, il n’y en a qu’un de logique, c’est celui d’un ‘scholts’ ou même ‘scholtz’ (2) qui désigne un bailli, terme juridique latin qui a pris un sens un peu différent au Moyen-Age français (et carrément un coup de vieux à notre époque). Notre bailli est souvent compris comme ‘le maire’ ou en tous cas un élu municipal, parfois même comme le représentant d’une corporation ou d’une profession (3).

En fait, les premiers baillis sont latins: à Rome, on les appelle ‘bajulus’, littéralement les ‘chargés’ de quelque chose…et pas de n’importe quoi: le tout-premier sens faisait référence aux porte-faix (des manutentionnaires) dont la fonction était de porter sur leur dos les cadavres jusqu’à leur sépulture; on ne peut pas faire plus terre-à-terre (si j’ose dire) comme définition! Puis, comme toujours, on est passé au sens figuré du mot, la charge devenant alors symbolique et plus spécialement administrative.

C’est ainsi que ce ‘bajulus > baiulus > baïul > bailli’ écope de la gestion d’un service qui peut aller jusqu’à la charge de représentant des citoyens, autant dire un maire; c’est d’ailleurs le sens que l’on donne souvent au ‘bayle’ (4) gascon, qui est en fait à l’origine un simple huissier vicomtal (du vicomte, son supérieur hiérarchique le plus proche). C’est aussi le sens du…bail qui vous lie à votre propriétaire, un papier qui régit les conventions de location, qui permet d’administrer correctement vos rapports, d’après le verbe d’ancien-français ‘bailler’ (rien à voir avec la fatigue) qui voulait dire donner (sous-entendu: les règles de comportement et d’entretien).

Voilà donc qui ne dénote pas avec les nouvelles fonctions de notre Olaf, d’autant plus que celui-ci est chancelier! Car cette fois le mot vient (encore) du latin ‘cancellarius’, formé de ‘cancel-arius’ avec un suffixe qui suggère un métier ou une fonction et une racine qui désigne une grille : effectivement, dans les palais de justice romains, le ‘cancellarius’ était l’homme (sous-entendu qui se tenait près) de la grille, non pas celle d’une prison mais celle qui séparait les magistrats des prévenus ou du public. Il s’agit donc bien également d’une sorte d’huissier, auquel on a donné plus tard le rôle de greffier. En ancien-français, le nom latin va évoluer en ‘cancelier’ (sous influence occitane) ou en chancelier (en langue d’oïl, de la partie supérieure de la France, d’où le maintien principal du mot). En tous cas, rien à voir avec la chance (ni avec un chandelier) sauf pour ceux qui aiment la politique…

Conclusion: un Scholz qui serait en même temps chancelier a donc toutes les qualités pour être élu aux responsabilités d’un pays, sans compter un prénom d’origine nettement scandinave (principalement popularisé par l’un des premiers rois de Norvège) qui a donc également ‘glissé’ jusque dans les provinces du Nord et dont les racines renvoient elles-mêmes à deux concepts imparables : les ancêtres (-laf) et la descendance (aun- contracté en o-). Olaf Scholz? En voilà un dont l’héritage ne fait aucun doute, en tous cas étymologiquement!

  1. Voir l’étymologie avec celle de…Meghan (Markle, c’est la même origine) en tapant le nom dans le champ de recherche (décembre 2018).
  2. L’orthographe Scholz sans ’t’ semble être propre aux régions nord de l’Allemagne, dont le land du Schleswig-Holstein (capitale Kiel) au nord de Hambourg, ville dont Olaf est natif et a aussi été le maire).
  3. A tort: ça, c’est le ‘prévôt’.
  4. D’où les patronyme Bayle, Debayle, certains Baylet et aussi probablement des Baillet ou Baillot (orthographe ‘parisienne’).

…et pour une fois le rapport avec le sens du patronyme n’est pas gratuit. Sauf que, contrairement aux sous-entendus de l’expression, il ne s’agit pas ici d’un jugement moral mais du sens le plus littéral des…racines, c’est-à-dire que tous les dérivés de cette couleur désignaient autrefois des gens qui avaient les cheveux gris tout simplement. Comme le ministre démissionnaire d’ailleurs, qui avait peut-être quelques raisons de se faire des cheveux encore plus clairs.

A l’origine de ce petit mot d’une syllabe, il y a (probablement) un son de lointaine influence germanique (vers le 5ème siècle) qui évoquait…des vieux. Les linguistes se demandent encore si c’est l’idée de vieillesse (et même de sénilité) qui a contribué à associer l’âge à la couleur ou inversement! Toujours est-il que cette teinte « argentée » (1) va se retrouver dans de nombreuses langues européennes avec des variantes très proches, soit gris en français donc, grey en anglais ou en américain (avec 50 nuances), grau en allemand, grijs en néerlandais, gris (!) en espagnol et en portugais,  grigio en italien et même gri en roumain; bref, noir c’est noir peut-être, mais quand c’est gris, c’est gris.

Il est donc assez logique de constater que le mot a suscité un grand nombre de mèches différentes sur la tête de nos ancêtres, à commencer par ce Griset, léger diminutif appliqué non pas à des cheveux déjà complètement gris mais à un début de tempes grises (ça compte, en matière d’années). Plus intéressant est son féminin Grisette, qui désigne dans la bourgeoisie du 19ème siècle des filles beaucoup plus jeunes embauchées dans de grandes maisons où elles portaient un tablier gris (souvent dénoué par le fils du maitre, mais ceci est une autre histoire). On retrouve pourtant un contexte parallèle dans cette chanson du début du 20ème siècle, baptisée « Du gris » (2), allusion à la ‘cibiche ‘(cigarette) de tabac gris qu’il fallait rouler et qui servait d’invitation pour les clients des prostituées (en v.o: « t’as pas une clope? »).

Il y a une foule d’autres formes de Gris, dont de célèbres Grisons (suisses) dont la viande est renommée. Or, il ne s’agit pas de déguster des steaks d’ânes (l’un des surnoms de l’animal) puisqu’il s’agit bien de boeuf en provenance de la région des Grisons, le canton le plus à l’Est – côté autrichien donc- lequel doit son nom aux insurgés de ‘La Ligue Grise’, mouvement du 16ème siècle en résistance à la maison des Habsbourg (et rien ne prouve qu’ils avaient les cheveux gris, beaucoup s’en faut)…N’oublions pas d’autres variantes comme les Grisonnet, les Grisart ou les Grisel, déclinaisons locales formées en fonction des habitudes linguistiques des différents endroits; les plus répandus sont encore les Legris (avec collage de l’article),aussi confortables à prononcer et à indiquer que les Lenoir, Leblanc et autres Lerouge ou Leroux (les ‘poils de carotte’).

On ne va pas s’empêcher de se griser de quelques mots supplémentaires, griser signifiant alors s’enivrer jusqu’à ‘être gris’, expression bien trop délicate pour avoir survécu dans le langage courant (3). Chez les gens bien élevés, grisé permettait d’éviter de prononcer un ‘saoûl’ trop vulgaire, qu’on traduirait plutôt maintenant par ‘pompette’. Et si la langue avait fait le choix de ce mot, c’est par comparaison avec l’état du buveur auquel l’alcool troublait la vue et donc faisait paraitre la réalité plus ‘grise’ (alors qu’il descendait du gros rouge, mais bon…).Tant qu’on est dans le sujet, impossible de ne pas citer le ‘vin gris’ (qui n’est pas un rosé) synonyme en fait de vin léger, d’autant qu’il est souvent issu de cépages de pinot…noir.

Quant au grisou, ce gaz dont les ‘coups’ d’explosion ont coûté la vie à tant de mineurs de fond, il viendrait de la couleur que prenait l’air dans les galeries en commençant à s’échapper; mais me direz-vous, n’importe quelle vapeur sur fond noir de charbon devait produire la même couleur. Par contre, impossible de rajouter à cette liste grise les…gris-gris (ou grigris) africains, les amulettes porte-bonheur – et inversement – invoquées ou manipulées lors de rituels; il semble que cette onomatopée vienne de l’Afrique de l’Ouest (Guinée), d’après le terme local ‘ju-ju’ (!), lui-même emprunté sous la pression coloniale de…joujou, c’est-à-dire les poupées que manipulaient les enfants des Européens ! Mais il est plus probable qu’on utilisait les gris-gris bien avant le premier chat dans la brousse. Un chat? Ben oui, vous savez bien que la nuit, tous les chats sont gris. En voilà un mot grisant! Au moins étymologiquement.

  1. C’est quand même plus classe (ou hypocrite) d’adopter comme les Anglais le mot ‘silver’ à l’occasion. 
  2. Popularisée dans les années 1930 par Berthe Sylva et reprise ensuite par Georgette Plana.
  3. Aujourd’hui, on dirait plutôt être naze, bourré ou torché.

…par un certain nombre d’institutions, entre réprimande ou rappel à l’ordre et exclusion définitive ou radiation. C’est ce dont a écopé le très contestataire (et contesté) docteur Raoult, dont il a évidemment déjà été question ici (1). Profitons-en, pour une fois, pour décortiquer ce mot un peu effrayant alors qu’il est tout simplement commun, du moins à l’origine.

La racine du mal – je veux dire du blâme – n’est en fait qu’une simple histoire d’erreur, si l’on en croit les Grecs qui ont ‘inventé ‘ la chose. Pour bien comprendre, il faut d’abord rappeler qu’il y a en français un certain nombre de mots ‘jumeaux’ (de même mère, ou matrice) qui, comme certains humains, ne se ressemblent pas vraiment (2). En clair: un même terme grec ou latin a parfois évolué dans deux registres différents, un dans la langue (parlée) ordinaire et donc qualifié de ‘vulgaire’, ce qui ne veut pas dire grossier mais simplement venant du peuple (vulgus, en latin).

L’autre évolution se manifeste dans un langage dit ‘savant’ (plutôt écrit) c’est-à-dire académique, littéraire, médical ou juridique, donc dans un registre de connaisseurs dans un certain domaine. Aujourd’hui, on appelle ça un ‘jargon’: essayez de comprendre du premier coup la lecture d’un acte de notaire ou d’un compte-rendu médical sans dictionnaire (ou formation)! Tout ça pour dire que ‘blâme’ est en fait la contraction du grec ‘blasphémo’, qui a donné également blasphème, comme vous l’aviez deviné.

‘Techniquement’ parlant, blasphémo va se contracter en ‘blasémo’, puis ‘blâeme’ (avec le ’s’ qui devient accent circonflexe) et enfin blâme (que vous devriez prononcer ‘blâââme’, mais qui risque de vous faire passer – au mieux –  pour prétentieux). Donc blâme va être le mot ‘simplifié’ réservé au langage courant, la ou les religions s’appropriant la version davantage ‘cryptée’ de blasphème. Et, comme vous le savez, il n’y a pas loin du blasphème au blâme, l’un est rapidement devenu -au minimum- la cause de l’autre. 

Or, le sens originel de ‘blasphémo’ est une erreur de…langage. Le problème est qu’il ne s’agit pas d’un simple lapsus mais d’une volonté plus ou moins délibérée de se tromper dans les prières ou le rite – forcément religieux – que l’on doit rendre à une divinité. Ce sont principalement les Romains qui, après avoir piqué le mot aux Grecs, ont figé cet usage, décrétant qu’une erreur dans la prononciation des mots sacrés était une véritable injure. 

Par différenciation donc, si le blasphème est resté dans les temples ou les églises, le blâme est descendu dans les cours pour qualifier les mauvaises paroles que l’on dit sur (ou contre) quelqu’un, soit une critique, une attaque voire une injure…Signalons pour finir que le contraire de ‘blasphémo’ est ‘euphémo’ (parler bien) ce qui a donné évidemment euphémisme, c’est-à-dire une façon de…dire de mal tout en ayant l’impression de dire du bien de la personne! Vous n’y aviez peut-être pas pensé, mais je ne vous en blâme pas. Même étymologiquement.

  1. Voir sa chronique de mars 2020 en tapant le nom dans le champ de recherche.
  2. Exemples: le latin ‘navis’ (un bateau) a donné aussi bien naval que nef; l’adjectif ‘fragilis’ a donné fragile mais aussi frêle, etc…

…sa consoeur et néanmoins concurrente Valérie Pécresse (1), le député (entre autres) des Alpes-Maritimes a fait une percée fulgurante à la Une des journaux, réussissant (enfin) le tour extraordinaire de reléguer « Mr.Z » en page 3 voire plus. L’opération de marchepied attendue avec ces Primaires à droite (dite républicaine) a donc marché à fond. Enfin…peut-être pas très régulièrement quand même, étymologiquement parlant.

L’occasion de s’intéresser aux origines du mot ‘ciotti’ permet d’envisager deux pistes linguistiques, l’une et l’autre pas forcément d’ailleurs pavées de bonnes intentions. Disons tout d’abord que, sans surprise cette fois, ce patronyme a toutes les caractéristiques d’un terme du répertoire italien, dans lequel il représente en fait un pluriel, celui du mot ‘ciotto’ (un ciotto, des ciotti). La racine est présente depuis de nombreux siècles (une huitaine au moins) sur le territoire ‘provençal’, notre actuelle Riviera ayant été sous administration italienne bien plus longtemps que française. 

Bref, quoi de plus normal dès lors de trouver là-bas des Ciotti, des Estrosi et autres Bianchi, bien plus ‘logiques’ que Médecin ou Brochand, toujours d’un strict point de vue linguistique évidemment. Reste donc à se mettre d’accord sur le sens donné par nos voisins transalpins à cette sorte de diminutif qui désigne le plus souvent un galet, pas forcément un bel ovale déposé sur la grève de la baie des anges mais plutôt un caillou terreux roulé parmi les alluvions d’un fleuve. On trouve même le diminutif du diminutif en ‘ciottolo’, quasiment un gravier cette fois…

D’autres, sans forcément en rapport de cause à effet avec le précédent, mettent en avant que l’adjectif ‘ciotto’ est traditionnellement utilisé dans la région de Trévise, en Vénétie (berceau paternel), pour désigner ce que les Romains nommait un ‘claude’, c’est-dire un homme qui…claudique, qui boite, que ce soit d’après un handicap de naissance ou après une blessure à la guerre, soit un estropié (2)…Voilà qui ne nous rassure pas beaucoup (symboliquement), d’autant que la troisième hypothèse – et peut-être la plus sérieuse – met en avant une histoire de ‘combe’ dirait-on en gascon, une dépression du terrain, un affaissement dans le relief géographique (un grand truc, pas un trou dans la terre). Reste à savoir si, après son ‘échec’ à la primaire du moment, Eric Ciotti ne sera pas quand même un…caillou dans le soulier de la déclarée candidate à la course présidentielle. Au moins étymologiquement!

  1. Déjà en archives depuis mai 2016 (pour d’autres raisons qu’électorales). Dans la même page du nom que vous allez pêcher dans le champ de recherche, deux autres histoires de poisson: celle d’un Jean-François, candidat aux Primaires LR de 2016 et celle de…Thomas Pesquet.
  2. Attention pas un ‘estrosi’ (= impulsif, colérique). Voir sa chronique en archives (sept.2020).