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…pendant la guerre? » m’a dit tranquillement un (jeune) voisin de trottoir. Non monsieur, ça c’est Vichy (Allier)! Evian, dite les-Bains d’ailleurs, c’est en Haute-Savoie, pas du tout la même région…Comme quoi, les retours de l’Histoire sont quelquefois nécessaires, et ce fut le cas pour cette commémoration (1) du soixantenaire (2) des célèbres (3) ‘Accords’ de 1962 qui devaient conduire à la décolonisation de l’Algérie.

Si le nom complet de la commune est donc ‘Evian-les-Bains’, c’est que tout simplement c’est une ville d’eau(x). Tout d’abord celle de la fameuse bouteille à l’étiquette rose qui fut longtemps  la boisson quasi-exclusive (et abusive) des nouveaux-nés, mais aussi celle de…bains, dans une ville où on venait ‘prendre les eaux’ comme on disait il y a quelques décennies. On peut même dire que c’est une ville qui prend totalement l’eau, étymologiquement parlant bien sûr.

En effet, même si une liste impressionnante de fantasmes linguistiques trainent dans diverses pages, on trouve les premières sources d’Evian au début du 12ème siècle, sous la forme latine de « Aquianum », qui sera également orthographiée en ‘Aquiano’, puis ‘Aiviano’ ou ‘Eviano’, et enfin ‘Aivian’ ou Evian. Tout ceci est logique, y compris phonétiquement.

Située au bord du lac Léman et à l’arrivée de sources plus ou moins importantes, il est assez évident que les Romains aient pu parler de cet endroit comme particulièrement concerné par l’eau, soit ‘aqua’ en latin…Si vous voulez bien accepter un certain nombre de règles un peu surprenantes mais statistiquement vérifiées, il se trouve que ‘aqua’ a donné ‘eau’ très facilement, y compris encore d’un point de vue phonétique:

En fait, le ‘aqua’ romain est lui-même issu d’un racine beaucoup plus ancienne, probablement sous influence du répertoire…hébreu, qui est ‘hawwa’. On interprète généralement ce terme comme issu d’une idée de ‘vivre’ qui s’applique à plus objets selon le contexte; en l’occurrence, il pourrait concerner aussi bien quelque chose qui surgit ou qui ‘vit’ comme de l’eau dite ‘courante’, de l’eau…vive. Mais il peut également y avoir une dimension plus ‘humaine’, d’où le (sur)nom biblique du premier être que l’Homme (via Dieu) a fait vivre en l’amenant sur la côte, soit ‘awa’ autrement dite…Eve, la fille de l’eau (symbole éminemment féminin)!

Ce même ‘awa’, plus gutturalisé chez les Latins, s’est transformé en ‘akwa’ (essayez de prononcer, ça revient au même) forcément noté ‘aqua’ à Rome. Puis on repart dans une pente linguistique qui va ‘amuïr’ (affaiblir) la consonne, d’où d’abord un ‘agwa’ à l’origine des mots méditerranéens (acqua en italien, agua en espagnol) qui vire ensuite en ‘egwa’, ‘ewa’, ‘ewe’ et enfin ‘eau’ sous influence celte.

Ce qui explique que, dans la famille française, ‘eau’ soit le seul mot pour parler de…l’eau, tous les autres s’appellent aquatique, aquarium et même aqueux (plein d’eau, biologiquement parlant). « Que d’eau, que d’eau! » comme aurait dit le président Mac-Mahon devant une telle inondation d’interprétations, car on ne peut pas résister à quelques fantasmes ‘a-posteriori’, en général concoctés par des intellos du 19ème siècle, époque à laquelle il fallait tout expliquer, au besoin en tirant jusqu’à la dernière goutte.

Le moins fantaisiste serait de faire d’Evian une ‘terre humide’, à cause de l’aqua d’accord, mais ça ne suffit pas pour exploiter des sources d’eau pure; et il y a tant d’endroits humides ailleurs (qui portent d’autres noms)! Un autre vous annonce très doctement que l’ancien nom était ‘Fuvian’ (!?) sans qu’on sache trop pourquoi, en rajoutant que le ‘f’ devient un ‘e’, et le ‘u’ un ‘v’, point. Et le tour est joué !

Ou que c’est un certain empereur romain Jovian qui est passé par là un jour, et que les gens ont mal compris son nom devenu Jevian puis Ievian, avec le nom que vous connaissez finalement. Notez qu’à chaque fois, on frise la logique: pour Fuvian, les Romains n’ayant pas de ‘v’ dans leur vocabulaire, c’est bien un ‘u’ qu’ils notaient ainsi; idem pour le ‘j’ de Jevian, noté par notre ‘i’. 

Mais tout le reste est fantaisiste! L’une des meilleures (il en reste) serait de profiter du lac pour y faire surgir la légendaire fée (…bretonne) Viviane (qu’allait-elle faire dans cette galère?). Et Vian – pourquoi pas – comme le musicien-écrivain Boris? Lui, comme tous les (Vi)vian et (Vi)viane viennent bien cette fois de l’adjectif latin qui signifie…vivant. Finalement, par des voies détournées, on retourne à la source d’une eau vivifiante. Comme quoi, à Evian, on peut toujours trouver un accord!

(1) On en ‘fête’ pas une guerre, même quand elle finit.

(2) Rien à voir avec un monsieur de soixante ans, quoi qu’en dise la télé; lui, c’est un ‘sexagénaire’.

…mais des Jeux Paralympiques d’hiver ont eu lieu cette année à Pékin. Sauf à avoir mis une alerte assez efficace sur votre mobile,  tablette ou ordinateur, il fallait absolument être présent devant son écran pour capter les huit à douze secondes de diffusion en fin de ‘J.T’ après la page culture et juste avant le générique météo, ce qui a parfois à peine permis de voir les skieurs passer la ligne d’arrivée.   

D’ailleurs, étymologiquement parlant, l’adjectif qui qualifie cette sorte de ‘suite des J.O officiels’ à laquelle ne semble s’intéresser que France Télévisions (par obligation?), est-ce ‘paraolympiques’ ou ‘paralympiques’? A l’origine, il semble que la seconde proposition du mot, la plus commune, soit la contraction de paraplégique-olympique (au moins, c’est clair); alors que la première forme pourrait être para-olympique, en gardant le ‘a’ du préfixe d’origine grecque ‘para-’ qui signifie ‘à côté de’ (comme parallèle ou parapharmacie), le plus souvent ‘contre’ (comme paratonnerre ou parachute), en tous cas toujours plus ou moins ‘en marge de’ quelque chose, y compris donc des médias.

Il n’empêche, il y a un homme qui n’a pas manqué de briller – en or – à cette occasion, c’est un skieur savoyard qui s’est attaqué à la montagne chinoise comme s’il visait Goliath. Normal, son nom à lui vient d’une variante du prénom…David (1), dont on trouve également l’orthographe Daviez, très significative de la même région, quand ce n’est pas tout simplement Davy (en région parisienne), sous une sorte de diminutif ou de pseudo influence anglaise (comme le petit trappeur américain amateur de croquettes). 

Il se peut que Daviet (davi-et) marque un diminutif ou une filiation (le fils d’un David), une nécessité quand on voulait différencier un tant soit peu deux porteurs de ce surnom très demandé depuis le célèbre combat du ‘petit’ roi biblique (2) à la fronde magique contre le géant philistin. Voilà donc un David qui devait forcément plaire à l’Eglise (qui l’intégra volontiers dans son calendrier) mais aussi à la Royauté française puisqu’en hébreu son nom (‘dawidh’) est plus ou moins l’équivalent de ‘Bien-Aimé’ (comme l’épithète du roi Louis XV). Etymologiquement, cela vaut donc pour ce Benjamin qui fut, de plus, en quelque sorte « l’aîné du défilé » puisqu’il a été le porte-drapeau de la délégation française… 

(1) Et non pas, comme on le trouve parfois, du ‘davier’ (avec un ‘r’) soit la pince de l’arracheur de dents -autrefois- puis surnom (éventuellement) du dentiste.

(2) Il apparait aussi, assez logiquement, dans une sourate du Coran, la saga des Hébreux n’étant pas une propriété chrétienne…

…les économies d’énergie, « Ici, c’est Versailles » aurait pu dire Emmanuel Macron à ses vingt-six invités chefs de gouvernement à l’occasion de la méga-réception-conférence destinée à envisager (et prendre?) les décisions indispensables pour sanctionner les agissements de la Russie en Ukraine. Or, depuis le premier jour de la guerre, de l’eau a (déjà) coulé non seulement sous les ponts mais aussi dans les plaines des Yvelines, y compris et surtout étymologiquement!

Le chef-lieu du département francilien est un nom connu dans le monde entier, d’abord pour son royal château qui reçoit des millions de visiteurs évidemment, mais aussi pour être ou avoir été, entre autres, aussi bien une marque de parfum, d’objets de décoration, de confiseries, de bougies parfumées ou de verres en cristal  qu’un modèle automobile de chez Simca (1), le tout à condition d’être synonyme de luxe à la française. Or, à l’origine, Versailles c’est plutôt la pataugeoire et la gadoue…

En effet, avant de faire l’objet d’un aménagement spectaculaire par les meilleurs architectes et jardiniers du Roi-Soleil, le terrain sert en effet de territoire de chasse à papa Louis XIII, dont le pavillon-relais servira plus tard d’Algeco aux ouvriers du futur palais. A cette époque, Versailles est (très) loin de Paris (2), obligeant les courtisans à de fastidieux allers-retours à la capitale à travers forêts et marécages.

Et c’est précisément le cas d’un pauvre village au milieu des bois mais surtout des marais, installé dans un endroit où les « eaux saillent » c’est-à-dire qu’elles affleurent le sol quand il s’agit d’une source mais surtout qu’elles stagnent et donc qu’on y croupit jusqu’à en mourir parfois d’un paludisme contre lequel on n’avait d’autre remède que d’attendre la fin tragique. 

Ce sera le cas de quelques centaines (milliers?) de travailleurs qui viendront assainir le lieu pendant des décennies en ‘versant’ la terre, c’est-à-dire en la labourant, en la retournant à la charrue donc en…ren-versant la boue (en la repoussant sur les côtés) ou en la dé-versant (en la faisant tomber ailleurs)! Du coup, en ancien-français, on désigne ces terrains viabilisés par ‘versail’ puis, pour différencier la ‘noblesse’ de cet espace mis à la disposition royale, l’Académie préfère des ‘versailles’ qui prendront inévitablement une majuscule en l’honneur de Sa Majesté.

Pour entrer dans les détails linguistiques, notez que versail fait partie de la liste des ‘vitrail, chandail, soupirail’ etc, et donne donc théoriquement… vers(e)aux (3) au pluriel; mais d’autres rattachent plutôt le mot à la conjugaison de ‘semailles’, mot lui aussi rarement employé au singulier. Ce qui tendrait à confirmer que, depuis le 17ème siècle à nos jours, Versailles est unique donc forcément singulier, même étymologiquement!

(1) L’autre modèle haut-de-gamme (à l’époque) avec la…Chambord.

(2) La preuve, c’est qu’on pourra s’y faire réfugier aussi bien les têtes couronnées que les gouvernements lors « d’événements ».

(3) C’est bien le sens des verseaux, y compris le symbole ‘verse-eau’ du zodiaque.

…dont les patronymes ‘sonnent’ si peu français que les médias se font un devoir de préciser leur nationalité (surtout quand elles gagnent une médaille), il faudrait presque appliquer la même règle au sauteur à la perche…suédois ci-dessus (1), tant son nom a l’air d’être sorti tout droit d’une comédie de Molière ou d’un roman d’Alexandre Dumas, encore une preuve que l’air (du mot) n’en fait pas toujours la chanson, surtout en étymologie.

En fait, il y a de quoi se tromper, car en vérité prénom et nom sont bien bien d’origine purement française; c’est même pour ça que la majorité des familles ainsi appelées se trouvent en…Amérique (émigration massive oblige, lors des siècles précédents évidemment), aussi bien aux Etats-Unis qu’au Canada (2). De plus, on ne peut pas faire mieux que de parler de racine(s) à ce sujet puisque Duplantis est un nom de provenance qui servait à désigner (sous-entendu, un homme qui venait) ‘du plantis’. Et, pour une fois, pas besoin de se creuser beaucoup pour trouver (enfin, sauf pour ce que vous mettez en terre) puisque le terme vient du verbe latin ‘plantare’ qui veut dire planter.

Savez-vous planter des choux, mais aussi des carottes, des fleurs ou tout simplement de l’herbe? Pour un Romain, ‘plantare’ veut dire fixer en terre, à condition que ce soit un végétal bien sûr (si vous plantez une canne ou un drapeau dans le sol, a-priori ça ne va pas pousser). Or, ce qui intéressait nos ancêtres, c’était de récolter le fruit de leur travail, disons précisément de leurs…plantations. Et parmi ces ‘plantées’ (simplifiées en ‘plantes’), il y en avait une particulièrement importante qui poussait sur les coteaux ou dans les plaines de ‘plantis’, autrement dit la vigne. Les plantis sont donc des vignobles.

A la fin du Moyen-Age, on forme donc des Duplant, des Planté, des Plantier et des Plantis, plutôt dans la région parisienne. En ‘province’, on trouve des Plantey (en Gascogne), des Plantat (en Auvergne) ou même des Plantade, avec un suffixe augmentatif qui évoque une grande superficie de culture, particulièrement en Languedoc ou en Provence…Ce qui n’empêche pas certains Marseillais (entre autres) d’utiliser le mot dans son sens argotique plus ‘violent’ mais toujours dérivé de l’énergie qu’il faut mettre pour planter un poteau par exemple, bien plus difficile que de glisser un cep de vigne ou une graine dans la terre.

Le sens s’appuie quand même sur la même idée: quand vous plantez une racine dans un sol sec ou caillouteux, vous vous heurtez à une résistance ou à un obstacle. Du coup, l’action a dérapé pour exprimer un mouvement stoppé brutalement: quand ‘vous vous plantez’ dans le fossé avec votre voiture (ça ne pousse pas), quand vous faites une erreur dans un calcul ou quand votre ordinateur ‘bugue’ devant un virus, c’est toujours la plantade!

Ultime clin d’oeil de la langue: ‘un homme (bien) planté’, ça peut, à l’inverse, prendre le sens de quelqu’un de bien stable sur ses pieds, donc musclé et (forcément?) séduisant. Et vous savez quoi?  Le prénom de notre sportif est Armand, soit la francisation de deux racines d’origine germaniques, ‘(h)ard’+’man(n)’, c’est-à-dire littéralement…l’homme fort! Quand on tutoie les sommets de l’athlétisme dans sa spécialité, c’est probablement l’un des rares sports, avec le ski et l’escalade, où il vaut mieux bien savoir planter…sa perche (ou son bâton, ou son piolet). Franchement, on ne peut pas faire mieux pour un Duplantis!

(1) Le 7 mars, au concours de Belgrade, il a passé 6,19m, battant son propre record du monde.

(2) La preuve, Armand est en fait américain de naissance (La Fayette, Louisiane) et de famille (son père était également perchiste).

…au moment du ralliement de la petite-fille désormais ex-Le Pen de Jean-Marie. Avec son patronyme, c’est un véritable boulevard qui s‘ouvre avec tous les Maréchaux, Marécaux et autres Marécheau qui font partie de la famille des Maréchal (ou maréchaux, sans majuscule). En effet, au cours de l’Histoire (et au fil des langues), le nom commun ‘maréchal’ qui a rendu le nom propre a pourtant eu un destin multi-fonction assez étonnant, jusqu’à finir dans la version anglo-saxonne que l’on va citer tout de suite, un ‘marshall’ souvent assimilé -à tort- au shérif américain, qui n’est en fait à l’origine qu’un simple officier de la police fédérale (et pas forcément le patron du commissariat local).

Avant de traverser l’Atlantique, les Anglais en avaient pourtant fait (comme les Français dans l’Armée de Terre) un Général ou Commandant en chef des Forces…aériennes; et nos compatriotes donc un haut-gradé spécialisé dans la défaite pendant la guerre de 1914 (celui qui a le ‘bâton’ pour se faire battre)…Or, si l’on remonte dans le temps et sur la racine, le tout-premier maréchal n’était qu’un garçon d’écurie!

En effet, au 12ème siècle le ‘marshkalk’, mot de lointaine origine germanique encore présent presque identiquement en Alsace-Lorraine sous l’orthographe Marchalk, qualifiait bien le gamin chargé de veiller aux équipements et à l’entretien des chevaux, certes de l’armée. L’étymon (la racine initiale) est d’ailleurs formée de ‘marah-‘ (le cheval) et de ‘-skalk’ (celui qui prend soin). C’est bien la définition originelle du poste d’écuyer (même si plus tard, il marchera avec l’écu de son patron et montera même parfois en selle).

Un peu plus tard, la variante d’influence latine ‘mariscalcus’ va alors désigner l’écurie elle-même, puis le ‘bureau’ de celui qui y travaille; le radical ‘mariscal-‘ va évoluer en ‘maréchau-‘ pour fabriquer le terme ‘maréchaussée’ qui, en 1718, va commencer par représenter spécifiquement une gendarmerie forcément à cheval à l’époque, d’où le mot (les pantins de St-Tropez n’ont donc rien à voir donc avec la marée, et encore moins avec une chaussée!).

Et c‘est en fait l’officier responsable des équipes de ‘mariscales’ (les garçons d’écurie, en version espagnole) qui écopera finalement du grade très fonctionnel de maréchal (éventuellement des Logis, soit le sous-officier chargé d’abord donc des écuries, puis ensuite de l’intendance dans d’autres Armes). Et finalement, c’est le grade du Grand-Officier de la cavalerie qui ‘déteindra’ sur les autres en faisant du Maréchal (d’en pire) le titre quasi-indispensable pour obtenir une…retraite étoilée.

Mais le maréchal le plus connu est évidemment son concurrent (linguistique) dès le début, un homme complètement marteau (et enclume) également chargé du soin des chevaux puisqu’il travaille le métal du même nom, mais cette fois pour ferrer les pieds des-dits équidés. Aussi bien dans le Nord qu’en Bourgogne, où les Maréchalle et Maréchalat (souvent le nom du métier) sont les plus nombreux, ce dernier va donc devenir ‘ferrant’, forme évidente du participe présent du verbe qui le concerne, afin de bien exprimer l’action qui est en train de se faire.

Et non pas…’ferrand’ donc, comme on le croit souvent, par confusion avec la ville de Clermont qui n’a rien à voir avec le fer (ce serait plutôt le caoutchouc avec les pneus Michelin). Si vous voulez tout savoir, c’est en lisant l’article en archive consacré à l’ex-ministre ruthénois (natif de Rodez) Richard Ferrand – devenu mutualiste en Bretagne- que vous aurez la solution en tapant son nom dans le champ de recherche habituel. Et surprise, vous allez voir que le Ferrand de Clermont est bien loin de s’appeler Richard! Surtout étymologiquement.

p.s: curiosité également: le prénom Marion est dans l’article ‘Marionnaud’ (janvier 2014!), pour être totalement au parfum…

p.p.s: si malgré tout Le Pen vous manque aussi, le mot est évidemment dans les archives depuis longtemps (août 2015)