Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

…sous le signe de la baguette! En janvier, c’était un objet de discorde, un réseau de grande distribution alimentaire ayant décidé de vendre, pendant plusieurs mois, l’un des symboles de la ‘gastronomie’ française à un prix défiant toute concurrence (1), ce qui avait mis les boulangers très en colère…En décembre, les mêmes, malgré une augmentation exorbitante du coût des matières premières et de l’énergie, se félicitent de voir leur production être reconnue comme ‘patrimoine immatériel de l’humanité’ (2).

Comment en effet gagner sa croûte avec des opérations pareilles, et d’abord d’où vient la baguette, quand elle ne sort pas du four évidemment? Théoriquement, d’un point de vue linguistique, une ‘baguette’ devrait une ‘petite bague’, puisque le mot est formé de la racine (de) ‘bague’+ le suffixe diminutif ‘-ette’. Or, tout le monde sait bien que, même si vous avez un doigt minuscule, on ne voit pas du tout ce que viendrait faire un morceau de pain à dedans…C’est que cette bague-là vient d’un anneau appartenant au répertoire flamand (néerlandais), d’après la racine ‘bagge’ dont le son se retrouve dans le germanique (futur allemand) ‘bligen’ et qui exprime l’idée de tordre (sous-entendu du métal, en l’occurrence) pour faire la-dite bague, une fois refroidie…

Signalons au passage que cette ‘bagge’ n’a aucun rapport avec le ‘bagage’ (qui n’est pas non plus un baguage, la pose d’une bague); ll s’agit cette fois d’un emprunt à…l’arabe, une histoire de ‘baghal’ adapté par les Espagnols en ‘bagaje’, le mot qui désigne…un mulet, autrement dit la bête de somme chargée de porter les ‘valises’ en question, d’où le transfert du nom! 

Mais revenons à notre a-mie la baguette, que l’on définissait logiquement à la fin du 15ème siècle comme une ‘verge longuette’, puisqu’elle est une transformation un peu gutturale (à cause du ‘g’) de l’italien ‘bacchetta’, lui-même issu du latin commun ‘bacculum’ soit un petit ’baccus’…Ce baccus-là n’a rien à voir avec le dieu du vin (3) mais avec la racine qui désigne un bâton: ‘baculum’ (ou ‘bacculum’, un ou deux ‘c’ ne changent rien) va également donner le petit bâton sous la forme duquel se présentent certaines bactéries sous le microscope, le bacille!

Quant à cette histoire de verge il s’agit bien sûr, chez les Romains, des symboles tenus en faisceaux par les licteurs, les représentants du Sénat; depuis la Révolution, la République française s’en sert également comme emblèmes de la Justice sur plusieurs objets ou documents. Par la suite, certaines verges vont rétrécir encore plus que la baguette de pain pour désigner toute forme de petit bâton plus ou moins extensible que je vous laisse le soin d’identifier. Car, avant de se retrouver dans la main de la boulangère, la baguette va être l’instrument indispensable, par exemple, aux sourciers pour trouver de l’eau, aux fanfares pour marquer le pas, aux amateurs de riz cantonais pour manger proprement et, bien sûr, aux chefs d’orchestres pour mener les musiciens au bon tempo…

Finalement, le français est une belle langue mais, parfois, il est difficile de faire marcher certaines règles à la baguette: comment voulez-vous que nos amis étrangers, auxquels vous expliquez qu’on utilise le suffixe ‘-ette’ pour faire un diminutif, comprennent que, si une vaguelette est bien une petite vague, baguette n’est donc pas une petite bague, qu’omelette n’est pas un petit…(h)omme (4), que violette n’est pas une petite viole et que galette n’est pas une petite gale (sic) mais un petit galet? Seul moyen, il faut juste s’en souvenir et ça, heureusement…ça ne mange pas de pain!

  1. 0,29€ la ‘barre’ de pain de 250 grammes (en dessous, à 200 grammes, c’est une ‘flûte’). Prix de vente moyen: 0,90€ (si vous aviez de la chance). Depuis, les chiffres ont bien changé!
  2. Béret, fromage, baguette sous le bras et bouteille de rouge à la main: l’image d’un Français à l’Unesco…
  3. Ce Bacchus-là prends un ‘h’
  4. En plus, dans ce cas, on dira souvent une femmelette!

…de ses performances lors du dernier Championnat du monde de triathlon qui s’est déroulé à Abu Dhabi et quelque peu passé sous les radars des médias, occupés à labourer d’autres sables de la région. Parti pourtant avec un certain déficit de points avant une course de format olympique (1500 mètres de natation, 40 kilomètres à vélo et 10 kilomètres de course à pied), le natif de l’Isère devient l’un des rares Français (3 en tout) à s’adjuger un podium devant des concurrents dangereux. Cet homme n’est donc pas un mouton, contrairement à ce que son patronyme dit clairement…

En fait, à part les Berger (prononcez ‘berguer’) strictement germaniques qui ont un rapport avec le ‘berg’, la montagne allemande, ce qui fait d’eux des montagnards, le berger français vient, lui, du latin ‘vervex’ resonorisé en ‘berbex’, ce qui nous rapproche un peu plus du mot final. Pour nos ancêtres, il s’agissait bien de désigner l’animal bêlant sauf que, dans la campagne romaine, un ‘berbex’ – qui va donner plus tard brebis en français – qualifie très précisément…un mouton et même un bélier. Génétiquement, il n’y a évidemment pas grande différence, mais essayez donc de faire un fromage avec du lait de mouton!

Bref, l’homme chargé de mener ces moutons va prendre le surnom des animaux, entrant dans les prés de la langue française au 12ème siècle sous la forme ‘bergier’ ou même ‘bergière’, l’homme des brebis (après inversion de la position du ‘r’). Le parallèle entre le mot de la femelle et celui du gardien du groupe vient du fait qu’à cette époque les troupeaux étaient essentiellement composés de brebis; le mot latin propre aux mâles était ‘ovis’, terme un peu plus technique qui servira à former la classe des ovins.

Côté humains, il faut croire que la France paysanne des siècles passés comptait de nombreux bergers puisqu’on peut également lister des Bergé (et Bergié, bien sûr) mais aussi des Bergerat, Bergereau, Bergerot ou encore Bergeron, sans oublier la bonne quinzaine d’oiseaux au plumage coloré et à la longue queue en perpétuel équilibre que l’on nommera ‘bergeronnettes’ à cause de leur habitude de fréquenter les…bergeries pour happer les insectes qui y pullulent.

Petit clin d’oeil au passage avec le célébrissime théâtre parisien des Folies-Bergère (et non pas folies bergères) situé tout près du Faubourg-Montmartre et lieu historique du music-hall français : c’est là qu’on vit sur scène pour la première fois une femme intégralement nue (en 1912). Tout ça parce qu’au 17ème siècle, dans un quartier encore peu urbanisé, un certain Jean Bergier était propriétaire d’un terrain sur lequel sera tracée plus tard la rue du même nom. En quelque sorte, la réponse de Bergère à Berger, au moins étymologiquement!

…hommes-femmes que vous avez sans doute fait connaissance avec le visage du lieutenant-colonel de l’Armée de l’Air (et maintenant de l’Espace) qui sera non pas la première mais la nouvelle astronaute/spationaute française après Claudie André-Deshays (1) qui aura passé quelques semaines à bord de la station spatiale internationale au tour de la Terre et des années 2000. Or, cette nouvelle Eve des étoiles s’appelle en réalité…Adam!

La Bourgogne (Franche-Comté) est décidément un territoire de grande production car notre recrue de promotion à l’Agence spatiale européenne vient elle aussi de cette région et en porte un nom caractéristique, soit donc Adenot. Comme une première lecture ne l’évoque par forcément,  il s’agit bien d’une variante du prénom biblique, tout comme les Adenet, Adeney, Adenin ou même Adanet, etc…

Toutes ces versions européennes se sont formées, comme dans de très nombreuses langues où le mot Adam est bien présent tel quel comme prénom par exemple, autour de la racine du terme hébreu ‘adama’ qui évoque ‘une terre rouge’. En fait, alternativement soit la terre soit la couleur, puis les deux parce que, symboliquement, le son va s’appliquer, dans la Bible, à celui qui représentera le premier être vivant (rouge) sur le globe (terre).

Notez au passage que, par opposition ou complémentarité, l’autre créature sera nommée ‘Eve’, soit ‘ewe’ à l’origine, à laquelle s’attacheront les signes de l’eau (élément féminin) et de la couleur bleue (idem)…Mais tenons-nous en à la linguistique qui ne va pas se priver de perpétuer, via la ou plutôt les religions, le nom sacré de notre (supposé) ancêtre commun. De la Scandinavie à la corne de l’Afrique, de très nombreux peuples ont intégré cette référence sacrée, avec des évolutions parfois ‘indétectables’.

C’est ainsi qu’on rencontre des Adnot (là, ça va encore) et des Adné mais aussi des Adant (!), des Adamus (version latine), des Admin et même des Azam et Azan; certains de ces patronymes sont d’ailleurs parfois analysés comme une suite non pas de ‘adam’ mais de…’eden’, l’autre son du paradis qui désigne, lui, une plaine sous-entendue riche et bienheureuse où s’épanouiront les deux premiers locataires (attention: bail précaire).

La racine vient d’une très ancienne langue (aujourd’hui éteinte) de Mésopotamie, l’akkadien (2); et c’est bien le même son que l’on retrouve dans le nom du territoire qui concerne aussi bien la ville que le golfe du Yémen; tout comme chez les Adenauer…germains (comme feu le chancelier allemand des années 1950, Konrad), patronyme combiné de ‘eden/aden’ (la plaine) + ‘-au’ (parcourue par un fleuve) + ‘-er’ (marque de la présence d’un résident). 

Gardez bien en mémoire le nom de Sophie (elle ne va pas décoller tout de suite) car dorénavant, en complément de la tournée de communication exhaustive organisée pour présenter la dame (accompagnée du chevalier précurseur Pesquet (3), vous ne pourrez plus dire que vous ne la connaissez ni d’Eve ni surtout d’Adam. Y compris étymologiquement!

(1) Parfois plus connue sous son nom marital de Haigneré

(2) Rien à voir (mais alors rien du tout, ni dans le temps ni dans l’espace) avec l’Acadie de nos cousins québécois

(3) Vous pouvez également aller pêcher son nom dans les archives…

…trop forte, c’est de s’organiser pour qu’elle arrive dans l’actualité fortuitement (ou pas). Exemple : pendant que les supporteurs (en français) soutiennent (idem) leur équipe et se demandent s’il faut dénoncer (ou pas) certaines pratiques dans le football, d’autres tentent de faire taire (ou pas) des médias qui continuent à s’intéresser à « l’affaire de la sex-tape » dont est victime l’adjoint au maire de la ville de St-Etienne (Loire), filmé à l’insu de son plein gré et en bonne (?) compagnie dans une chambre d’hôtel. Soupçonné d’être lui-même impliqué dans l’histoire, le maire n’est pourtant pas un « perdreau de l’année », bien que…

Cette expression très courante n’a rien ici de désobligeant ni de gratuit puisque l’origine du mot renvoie très exactement à l’oiseau de nos campagnes ! Très répandu en région Poitou-Charentes voire un peu plus haut (1), le patronyme Perdriau ou Pertriaux (en version un peu plus ‘sèche’) se trouve également en Perdriaud, Perdriault et Perdriaux, autres variantes régionales plus ou moins patoisantes de la façon de prononcer…perdrix (2).

Selon les habitudes générales de l’onomastique (la ‘science’ des noms de famille) que vous connaissez sans doute si vous lisez ces chroniques depuis quelque temps, on se dit qu’il n’y a là rien de bien compliqué et qu’on se trouve très probablement devant un cas de métonymie (le transfert d’un détail sur une généralité ou inversement); les Perdriau seraient donc des chasseurs de perdrix «…avançant dans les marais couverts de brume à cinq heures du matin avec leur fusil dans les mains… » (3). Possible effectivement mais pas obligatoire du tout, sinon la ‘règle’ voudrait alors que nos ancêtres chasseurs, pour mériter ce surnom, ne tuassent que cette espèce, ce qu’on peut difficilement imaginer (4)!

Attachons-nous d’abord à cette perdrix dont le diminutif ‘perdriseau’ a perdu son ’s’ au fil du temps pour arriver à perdrieau puis ce perdriau qui nous intéresse; le nom signifie donc exactement « petite-perdrix », nuance que l’on ne peut pas rayer ici d’un trait (de plume, évidemment): il semble que cette nuance lui a même valu pendant quelque temps le sens de « homme peureux comme une perdrix »…Or, après quelques soubresauts au fil du temps pour créer une ‘perdriz’ (12è s) puis une ‘perdris’ (16è s), c’est en fait le latin ‘perdix’ qui était le véritable nid de toute cette couvée. 

Encore une fois, les Romains avaient emprunté et transféré tel quel ce terme ornithologique très spécialisé d’après le grec…’perdix’ (l’un et l’autre rajouteront un ‘r’ derrière le ‘d’ par un effet de phonétique classique); et c’est là que cela devient plein de surprises…

En effet, dans de nombreuses traditions et légendes anciennes – à commencer par la mythologie grecque – la perdrix est un oiseau sacré (qui ne l’est pas, à l’époque?) mais aussi très équivoque, symbole de « l’amour qui se fait remarquer » (par son cri inimitable); cet appel à la copulation (aviaire, bien sûr) fait de lui une créature « lascive », aux yeux d’une beauté inégalée (dans la tradition indienne) et qui attire les mâles en se dandinant (comportement réel de l’oiseau).

De plus, coïncidence troublante (et vérifiée): la ‘structure préhistorique’ de la racine ‘perdrix’ s’appuie sur les deux sons  « ps-ch »; or, circule pendant des siècles dans tout le bassin méditerranéen un mot arabe équivalent qui décrit quelque chose ou quelqu’un qui ‘claudique’, qui se dandine d’un pied ou d’une patte sur l’autre, stratégie de fuite que les chasseurs modernes prendront pour une ruse de l’oiseau qui veut faire croire qu’il est blessé avant de s’envoler à nouveau sous le nez de l’homme…Plus fort encore, on retrouve le même sens dans la tradition juive pour qualifier des « danses boitillantes » traditionnelles de la fête de Pâques, le mot hébreu ‘pessah’ (la pâque) s’inspirant de la même formule du base ps-ch!.

Je m’en voudrais de ne pas signaler pour terminer que, chez plusieurs poètes grecs anciens (avant l’époque dite classique), la perdrix femelle est reconnue comme l’image de la grande tentatrice sexuelle, allant, pendant la couvaison, jusqu’à rejeter les mâles alors obligés de s’accoupler entre eux (sic). Et cette fois, loin des micros et caméras en usage au 21è siècle…

(1) Pour une fois ça tombe bien, Gaël est né à Cholet (Maine & Loire)

(2) Et même Perdriel,  comme Claude journaliste et patron de presse (« Le Nouvel Obs »)

(3) In « Le chasseur » (Michel Delpech, 1974)

(4) Un chasseur, ça chasse, même les promeneurs dans les bois ou les campagnards dans leur jardin.

…suisse, même s’il vient récemment de se découvrir « qatari, arabe, handicapé, gay, et immigré » (citation)…En fait, il est plus précisément tessinois, de la partie italienne du sud de la Suisse, mais il vient d’encore plus loin que cela : la famille arrive en droite ligne de la Calabre (la pointe de la Botte) et, si vous parlez un peu italien ou latin, vous avez sans doute déjà deviné que même son père était un petit enfant.

Infantino est en effet une sorte de double diminutif; linguistiquement parlant, c’est ce suffixe traditionnel ‘-ino’ (1) qui donne l’idée de petitesse ou de descendance…Mais nous ne sommes pas à la Cour d’Espagne, où son équivalent ‘Infante’ désigne les enfants non-héritiers de la couronne (2), ni à la Cour de Versailles, où les ‘Enfants de France’ sont très clairement les fils et filles du Roi (alors que les ‘Petits-Enfants’ sont ceux du Dauphin). Il s’agit donc ici d’un sobriquet, au sens de gamin (diminutif: ga-minot, d’où l’utilisation abrégée de la seconde partie du mot), ou même…pire.

En effet, ‘l’infantino’ a gardé là-bas, tout comme pendant la période classique en France, le sens initial latin non seulement de petit enfant, mais quasiment de bébé! Explication: chez les Romains, le mot est formé d’un préfixe et d’une racine, in-fans; contrairement à de nombreux autres usages, ce ‘in-‘ exprime ici une impossibilité ou une interdiction. Exemple: ce qui n’est pas possible est…in-possible (+ la règle qui transforme le ‘n’ en ‘m’ devant m,b,p, vous vous souvenez?); ce qui ne peut pas brûler est in-(i)fugé, mais ce qui peut brûler est in-flammable (cette fois, on porte la flamme ‘dans’ quelque chose), le contraire étant évidemment in-in-flammable, etc.

Bref, la seconde partie de cet ‘in-fans’ est le participe présent d’un verbe irrégulier latin qui signifie…parler. Logique: l’infant ne peut (ne sait) donc pas parler, puisqu’il ne concerne encore qu’un petit enfant; au fur et à mesure du temps, cet enfant prend quelques années (entre 4 et 7 ans) mais n’a toujours pas droit -nuance- à la parole; puis, entre 10 et 14 ans, il devient le jeune fils pré-adolescent de la maison, et s’apprête à recevoir (la liste de) ses devoirs, comprenez ses responsabilités dans tous les sens du terme.

Le cas échéant, il ne faudra pas hésiter à batailler pied-à-pied, exactement comme…l’infant-erie militaire, dernier sens hérité des Latins, et réservé cette fois à certains nobles: ceux qui n’avaient pas encore l’âge (ou la possibilité) d’avoir un cheval et de savoir monter (eux, on les appellera chevaliers) étaient donc forcément des ‘va-à-pied’, autrement dit ceux qui exécutaient sans rien dire les ordres des gens de rang (et d’altitude) supérieurs!

Pirouette étymologique finale: on trouve également, principalement dans le sud de l’Italie, une connotation inévitable et sous-entendue pour cet Infantino (avec une majuscule donc), c’est celle du Petit-Enfant, pour ne pas dire du Divin-Enfant, soit évidemment l’image de l’Enfant-Jésus, nom dit ‘de baptême’ pour désigner un ancêtre particulièrement pieux, consacré à la religion, ou le plus souvent sauvé miraculeusement d’une mort prématurée en bas-âge. Ce que l’on ne souhaite pas à la nouvelle mission de notre Jeannot (Gianni, en v.o), cet ‘enfant de choeur’ qui n’aurait sans doute pas dû prendre la parole…en tous cas étymologiquement!

(1) Exemple parmi des centaines d’autres: en Italie, Mickey (Mouse) s’appelle tout simplement Topolino, soit ‘petite-souris’.

(2) En France, on aura d’une certaine façon comme équivalent les ‘Monsieur’ ou ‘Madame’ donnés (même aux bébés) à ceux et celles qui ne sont pas dauphin ou dauphine.