Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

…et donc que vous n’en connaissez pas l’origine ou la notoriété (les années 1950), rien que la sonorité du mot vous indique a-priori qu’il ne s’agit pas d’un terme (nom commun ou adjectif) d’une très grand louange. Ce serait même désormais, à part à l’époque pour ses comédiens-créateurs, une étiquette à la limite de l’injure….

…ou d’exprimer, comme actuellement, un signe de manifestation. Reste à savoir si le geste en question traduit la résistance, la soumission, le respect, la fatigue, ou encore le sacrifice. L’histoire du genou, c’est un vrai sac de noeud(s), y compris étymologiquement!

« Je ne crois pas qu’il y ait d’autres artistes aujourd’hui capables de tels emballements, de tel enveloppements, avec un tel respect du monument », a réagi sur FranceInfo l’ancien ministre de la Culture Jack Lang, en apprenant la disparition du sculpteur Christo. Bel exemple d’équivoque linguistique: faut-il dire emballement ou emballage? Lequel est correct, lequel ne l’est pas? Ou bien, lequel est académique, lequel est vulgaire? Bonne occasion pour se renvoyer…la balle!

Ce ne sera évidemment pas possible pour le Tour de France, certainement difficile pour les matches de football, problématique pour le Grand Prix de Belgique de formule 1, et en tous cas « sans intérêt pour Roland-Garros », si l’on en croit les récentes déclarations de l’ex-vainqueur dudit Tournoi Yannick Noah qui ne veut pas « jouer à huis-clos ». Mais d’où vient cet ‘huis’, étymologiquement parlant?

A défaut d’actualité ‘humaine’ sur les patronymes, un autre mot qui revient régulièrement dans le bilan -provisoire!- de ces « 55 jours de confinement » (c’est beau comme un film avec Charlton Heston) concerne le milieu du sport. En l’absence de salles accessibles, beaucoup se sont mis (temporairement?) au jogging et d’autres ont ressorti les haltères de la cave après un dépoussiérage complet. Au fait, un haltère ou une haltère?