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Allez, un dernier effort avant les cérémonies du siècle prochain, avec la commune de l’Oise dont vous avez entendu le nom à longueur de journée(s), définitivement immortalisée grâce à un wagon dans lequel furent signés les armistices (1), lequel était stationné dans une clairière…qui ne se trouve pas à Rethondes mais sur le territoire -certes très voisin- de Compiègne! La faute à une ‘petite gare’ secondaire de cette ville, un peu comme si on avait signé des ‘Accords de Paris’ à Massy ou Marne-la-Vallée. Il n’empêche, Rethondes?

Non, aucun rapport entre les deux (beaucoup s’en faut), et surtout pas étymologique! Seul point commun: l’actualité du moment, qui voit la victoire de l’un sur Federer (article précédent) et l’enjeu territorial de l’autre; et de belles surprises dans les deux chroniques déjà disponibles pour un petit rappel, en tapant le nom du tennisman ou celui de l’île dans le champ de recherche habituel…

Samedi, c’est géographie! Mais aussi Histoire. Et aussi politique, puisque le déménagement le plus spectaculaire de la semaine est celui du Parti Socialiste qui a définitivement rendu les clés de l’immeuble sis au n°10 de la rue du même nom, là même où, pendant l’Occupation, s’était installé…le Ministère de l’Information chargé de la propagande du régime de Vichy! Il n’empêche, si ‘Solfé’ est devenu le raccourci médiatique pour évoquer le centre décisionnel du mouvement, c’est parce que…

«…le tronçon devenu tête-de-turc des Gênois…», jeu de mots très probablement involontaire d’un commentateur radio au sujet du désormais funestement célèbre ‘pont autoroutier de Gênes’, de son petit nom Morandi, d’après son concepteur au patronyme, lui aussi, définitivement ‘infâme’ (étymologiquement, de mauvaise réputation et pas plus, mais c’est déjà pas mal). Il signore Riccardo n’a d’ailleurs pas le monopole du lieu, puisqu’en réalité, les habitants appell(ai)ent ce pont «viadotto Polcevera»…

Jamais on n’aura autant parlé de ce petit pays coincé entre Brésil et Argentine -et pas seulement question football- qu’en cette fin de Coupe du Monde, ce qui vous permet sans hésitation de citer sa capitale aussi spontanément qu’un Uruguayen connait Paris…Sans aller jusqu’à exiger des footballeurs en…bleu (ciel) de connaitre l’étymologie des Francs («les hommes libres») futurs Français, on peut en profiter pour demander à quelques Français (vous) de retenir celle du pays que ‘nos’ Bleus auront affronté en quart(s)-de finale.