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Voilà, c’est fini! Si l’on pouvait encore croire, ces dernières années, en une salutaire plongée de baisse d’intérêt pour ces manifestations importées d’Amérique, nous sommes désormais faits comme des rats de marketing et visiblement emportés aussi bien par deux ‘traditions’ totalement artificielles -et éventuellement incompréhensibles- pour les cultures européennes: Halloween et Black Friday! Vendredi aux noirs desseins…

Le débat du moment ne concerne pas seulement la découverte de marchés aux esclaves sur Terre (par ailleurs si promptement condamnés par des footballeurs que les clubs se revendent sans problème chaque semestre à coups de millions d’euros) mais à celui, plus local, de la garde partagée des enfants après divorce. L’auteur de cette proposition de loi est un jeune député de Vendée, lui-même papa en quête d’une alternative qu’il ne faudra sans doute pas enterrer…

Vous avez peut-être manqué l’événement, très peu relayé par les médias il est vrai tant que notre représentante au concours international Miss Monde n’accède pas (au moins) au podium des trois plus belles femmes du monde, selon des critères peut-être autant esthétiques que génétiques voire géopolitiques si l’on en croit les éternels commentaires qui entourent traditionnellement la manifestation. Mais profitons de l’occasion pour nous intéresser au moins une fois à son patronyme, y compris étymologiquement…

Même si vous n’êtes pas spécialement passionné de ce sport, vous n’avez pas pu rater la présence médiatique du joueur d’origine guadeloupéenne, qui a dit toute sa satisfaction de revenir au sein du XV français lors des prochains matches. Sait-on jamais, pour prévenir un score habituellement tout noir (all black) contre les équipes de l’hémisphère sud, « l’enfant terrible du rugby » à la coiffure rasta apportera ce que la presse spécialisée appelle pudiquement ses «capacités de percussion», si vous voyez ce que je veux dire. Et peut-être même étymologiquement…

Déjà titulaire de records spectaculaires, le co-équipier du récent vainqueur de la Transat Jacques Vabre, un certain Thomas Coville, a fait l’objet d’un précédent article (*); donc consacrons-nous aujourd’hui à décrypter le nom de l’autre partenaire de cet indispensable binôme, un navigateur quimpérois (en fait ‘simplement’ né à Quimper, cette fois l’étymologie ne ‘suit’ pas!) qui vient de battre pour la deuxième fois le record de la traversée bisannuelle Le Havre-Salvador de Bahia. Nélias? Apparemment pas si compliqué et pourtant moins facile qu’il n’y parait; une fois de plus, attendez quelques secondes avant de caresser la souris…Vous avez trouvé?