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Double actualité avec la racine de ce patronyme dont la notoriété (publique) frisait le zéro il y a à peine quelques jours et qui se retrouve à la Une de nombreuses pages économiques. La dame dont il est question n’a de cesse de chanter les louanges d’Engie’ (rien à voir avec les Rolling Stones, ou presque) puisque cette seule femme à diriger une entreprise du CAC 40 ne verra pas son mandat renouvelé. Dissensions au sein du Conseil d’administration? Pression de l’Etat actionnaire? Toujours est-il que voilà une drôle de cuisine, y compris étymologiquement!

Déjà traité récemment (janvier) lors de l’annonce de sa nomination, c’est la réalisation d’un événement industriel, mais surtout sociologique pour quelques médias qui mettent encore en lumière le fait ‘exceptionnel’ qu’une femme accède ‘seule’ (!) à la direction générale d’un groupe du Cac 40, en l’occurrence le géant français de l’énergie Engie, ex-GDF Suez. Manque de chance, tous les journalistes l’appellent “Cochère”, phonétique bien parisienne de mauvais augure qui lui ferait plutôt prendre la porte (peuchère!), alors que tout cela est une question de cuisine.

Retenez bien son nom, vous entendrez peut-être parler d’elle assez souvent (on espère dans le bon sens), dès que cette physicienne sera devenue la première femme PDG d’un groupe du CAC 40 (Engie). Ainsi en a décidé le conseil d’administration, par la voix de Gérard Mestrallet, son…patron (*) actuel. Au-delà de «l’événement de parité » (!) dont se gargarisent les cravatés des grandes entreprises, on passe donc d’un provenço-occitan à une fille de l’Est.