Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Si vous consultez ce site dans l’ordre chronologique de parution des articles, vous remarquerez une certaine logique des événements avec les deux précédents (cagnotte, Dettinger), puisque le sujet du jour est l’homme qui a pris l’initiative d’ouvrir à son tour, en faveur des forces de l’ordre, un compte de collecte de fonds qui a eu un succès certain. En voilà un qui a eu du nez, y compris d’ailleurs étymologiquement…

Mieux que le chapeau pour faire la quête ou l’enveloppe pour les étrennes, la collecte numérique se fait désormais en ligne sous forme de cagnotte, terme à tout le moins enfantin et donc assez surprenant pour l’appliquer à une technique moderne. Le mot est néanmoins sympathique car il a des sonorités enfantines évoquant le contenu de tirelires ou des dons personnels destinés à un anniversaire de quartier; même les cadeaux de mariage se font désormais sur liste (et en ligne). Une cagnotte, c’est pas sérieux, et pourtant…

Il aura sans doute davantage -en tous cas plus rapidement- gagné en notoriété en trois coups de poing sur un pont parisien qu’en dix-huit combats sur un ring, cet ‘ex-boxeur professionnel’ comme le présente la presse. Après être resté assez longuement anonyme dans les reportages, le patronyme finalement révélé a posé question à beaucoup d’internautes. Voici une approche de son étymologie…

C’est le meilleur moyen de se casser une dent pour certains, mais d’autres s’en sortent nettement mieux en exploitant la tradition pâtissière (et très juteuse, quelle qu’en soit la pâte) du moment: la fève. Bien loin de celui qui a pensé un jour insérer ce symbole dans une galette, plusieurs boulangers, un peu partout en France, vont nettement arrondir la leur cette année en y ajoutant une effigie de moto, de guitare ou de santiag en hommage à Johnny Hallyday! Remarquez, ça aurait pu être pire…

L’événement national du jour tient donc en quatorze mots qui ont suscité des centaines de lignes de commentaires capitaux: Niort (chef-lieu des Deux-Sèvres) est-elle « une des villes les plus laides qu’il (m’) ait été donné de voir »? La phrase est extraite du dernier opus de Michel Houellebecq et passe mal auprès des Niortais, comme s’en émeut la presse locale. Et si jamais, étymologiquement…