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Maillot jaune français dans le Tour de France! Voilà une occasion à saisir pour un petit coup de projecteur sur l’un de nos meilleurs cyclistes, Thomas Voeckler, participant (et vainqueur d’étape) régulier de la-dite course, et sportif au palmarès fourni et cohérent (donc honnête, si vous voyez ce que je veux dire). Le sujet n’est pas là mais quelque part dans l’Est de la France, car la souche des Voeckler, comme vous le deviniez peut-être un peu, est d’origine alsacienne.

Ils s’appellent Eric et Eric, mais ils sont comme Castor et Pollux (c’est vous qui votez), apparemment inséparables, surtout quand il s’agit de tribulations médiatiques. En cet été 2011, on les annonce -conjointement bien sûr- sur la chaine Paris Première, après avoir fait les beaux soirs (et parfois les nuits blanches pour certains invités) de l’émission de Laurent Ruquier sur France 2. Dieu (ou diable) merci, ils ont un patronyme distinct, dont l’étymologie, pour l’un comme pour l’autre, ouvre la porte à quelques coïncidences ou anecdotes qu’ils ne dédaigneraient peut-être pas.

Cette semaine, dans la tourmente médiatique des feuilletons à rebondissements de l’été, petite analyse du patronyme de la journaliste préférée de Dominique Strauss-Kahn, mademoiselle Tristane Banon, une jeune femme à la notoriété acquise à son corps-défendant, c’est le cas de le dire. Vous entendez son nom à longueur de journée, mais avez-vous écouté son étymologie?

Une grande chaine de télévision vient de sacrifier à l’information dominicale en rendant compte d’un « événement » selon elle incontournable: la rencontre des (quelques) maires des communes les plus mal loties de France, tout du moins d’un point de vue onomastique. En effet, quand on s’occupe d’une ville qui s’appelle Corps-Nuds (le lieu du rassemblement), comment ne pas profiter d’un certain sens de la dérision pour faire parler de soi, tout comme Bouzillé, ou le désormais (trop) célèbre Montcuq, objet de sketches depuis plusieurs années.

Par où commencer pour parler de Bugarach, 3ème canton du district de Quillan, nous sommes donc dans l’Aude, à une vingtaine de kilomètres au sud de Limoux, tout près des Pyrénées-Orientales. Le village en question est niché au pied d’un « pic de Bugarach » (le pech de Bugarach, en occitan), qui culmine à 1230 m, principale curiosité touristique du coin, à cause de la forme de « montagne renversée » du pic en question, lequel ressemble plutôt à une grosse molaire, qui aurait, dit-on, servi de modèle à la « montagne-qui-parle » dans le film « Rencontre du 3è type », de Steven Spielberg…