Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Bonne(s) Nouvelle(s): celle(s) écrite(s) par le nouveau (la nouvelle?*) Prix Nobel de littérature, la canadienne anglophone Alice Munro, dont le patronyme va nous permettre de voyager d’un continent à l’autre pour remonter le cours d’un mot par ailleurs très glamour. Au passage, c’est l’occasion d’un petit clin d’oeil à de nouveaux lecteurs canadiens toujours plus nombreux et dont le séjour sur le site est souvent le plus long parmi tous les pays qui me font l’honneur de se connecter. Aujourd’hui donc, occupons-nous d’Alice, prénom idéal pour une auteure capable sans doute de nous emmener au pays des merveilles…

Actualité…Etymologie…Hommage…Vous aurez assez entendu ce nom (une découverte pour certains, malgré ce qu’en disent tous les critiques), celui du metteur en scène et cinéaste sanglant et pervers («La Reine Margot» pour le sang; «La Chair de l’Orchidée» pour la perversion. Si, si, cherchez dans les années 70). Réflexe maintenant assez systématique de certains lecteurs, entre plaisanterie et demande sérieuse: «dis, Monsieur Dominique, Chéreau, il était cher. C’était donc un artiste chérot. C’est ça?». Bien essayé, et, d’une certaine façon, linguistiquement possible. Seul inconvénient: ça n’est pas ça du tout, mais alors pas du tout (sinon, à quoi ça servirait que je me décarcasse?).

De nombreux lecteurs me questionnent actuellement sur l’origine du nom d’hommes (et de femmes) politiques. N’oubliez pas qu’il y a dans les archives de ce site plus de 600 patronymes, analysés au gré d’une actualité qui a été très active ces deux ou trois dernières années. Il y a de fortes chances que vous croisiez dans le champ de recherches quelques personnalités comme…

MAMERE ESTROSI LEFEBVRE LE PEN CHIRAC ALLIOT-MARIE BOILLON HAMON MAZEAUD RICHARD HIDALGO MAUROY AUTAIN GUEANT FABIUS DELAUNAY SAPIN THATCHER BATHO LEBRANCHU FILIPETTI TAPIE ACCOYER PLACE RAOULT DELANOE COPE BACHELOT CAHUZAC MOSCOVICI PEILLON VALLAUD-BELKACEM VALLS FOURNEYRON TOURAINE DUFLOT MONTEBOURG WOERTH

et tant d’autres! N’hésitez pas à en rajouter…

Premiers tirs de commémoration en souvenir de la petite chanteuse des rues surnommée la «môme moineau», surnom que lui donne, en 1935, celui qui sort du trottoir une gamine décharnée et mal peignée à l’allure d’un oiseau tombé du nid, la future Edith Piaf, de son vrai nom (Edith) Giovanna Gassion. Pendant une semaine (ou plus si overdose), vous ne pourrez pas échapper aux rétrospectives plus ou moins originales sur l’interprète disparue il y a tout juste cinquante ans, au soir d’un 11 octobre où la nouvelle éclipsera quasiment l’infarctus de son ami Jean Cocteau provoqué – dit-on – par la mort de la chanteuse. Piaf-le-moineau était donc un pseudo; mais qu’en est-il de son patronyme d’état-civil?

Il vient de publier son…passeport (biologique): il s’agit bien sûr du coureur cycliste américain, récemment grand vainqueur du Tour d’Espagne et subséquemment (comme on disait dans les films de gendarmes) grand suspect ‘d’aide extérieure’ pour avoir accroché le maillot rouge à son palmarès, à 41 ans passés (on n’a pas idée, aussi, d’être copain avec Lance Armstrong). Malheureusement écarté du reste de la saison pour cause de chute aux Championnats du Monde entrainant quelques côtes cassées, cet équipier de la formation Radioshak aurait plutôt dû faire partie de celle de ‘Red Bull’, au moins étymologiquement, et voici pourquoi…