Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

De plus en plus présent dans les médias, le ‘petit-nouveau’ (2012) Secrétaire Général de la CFDT porte un patronyme qui a l’air transparent pour tout le monde, que vous l’écriviez avec un ‘r’ final ou bien Berget, Bergey, Bergez, ou même Bergeay; et encore Bergeat, Bergier, Bergeon, Bergerau ou…Bergeron! (1). Tout ça, c’est évidemment à l’origine une histoire de berger(s), mais selon les régions le sens peut être différent; sans oublier la version germanique, également présente dans notre pays, mais qui n’a vraiment rien à voir.

Le ‘Blaireau’ a décidé de rentrer définitivement dans sa tanière: l’une des légendes du cyclisme français, le troisième champion à avoir gagné cinq Tours de France à la suite, ne court plus depuis longtemps mais n’avait jamais officiellement confirmé son retrait du monde du vélo, où il officiait encore en tant que consultant ou pour diverses participations. Voilà un breton (certifié de naissance) dont l’origine le relie à des ancêtres pourtant bien plus lointains, et dans le temps (quinze siècles environ) et dans l’espace (quinze cents kilomètres à l’Est).

C’est aujourd’hui dimanche, alors, après avoir un acheté un bouquet de  »roses blanches pour votre jolie maman » (*), vous avez le droit de dépenser la monnaie pour une gaufre, sauf si vous vous appelez Gauffre. Pour une fois, l’orthographe prime sur la phonétique, et il n’est pas question de confondre les deux mots car ce patronyme, ça n’est pas du gâteau, le jeu de mots n’est pas gratuit.

Bon dimanche en France, ‘super tuesday’ en Amérique, voilà pour les histoires d’élections (présidentielles, entre autres). «Ils sont fous, ces amerloques, m’a dit un voisin. Quel intérêt de faire déplacer les gens pour voter en plein milieu de la semaine» (il arrête de travailler le jeudi)…Finalement, c’est vrai; pourquoi un mardi? Et que signifie exactement ce ‘tuesday’ si éloigné de notre mardi confortablement romain?

On a donc commencé à démolir la ‘jungle’ de Calais, cet espace sauvagement occupé par des migrants que l’Angleterre ne veut pas voir ailleurs que dans la…lande désolée du Nord. Or, à part au sens figuré de ‘situation complexe d’où il est difficile de s’extraire’, l’endroit n’a strictement rien d’une jungle, sauf pour les hommes (et femmes) politiques.