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Un de mes maitres (en journalisme) disait: «Quand tu n’as rien à dire, parle de la météo, c’est ce qui intéresse le plus les gens » (1). Partant du principe que nous avons quelques heures de répit avant de nouvelles révélations diverses, j’ai choisi de faire barrage à la politique en mettant un coup de projecteur sur la…Californie, pays déjà le décor d’une réalité catastrophique à cause d’une fissure dans une retenue d’eau qui menaçait de noyer la vallée (2017), alors que depuis quelques semaines il est le théâtre de gigantesques incendies (2018)

Allez, un dernier effort avant les cérémonies du siècle prochain, avec la commune de l’Oise dont vous avez entendu le nom à longueur de journée(s), définitivement immortalisée grâce à un wagon dans lequel furent signés les armistices (1), lequel était stationné dans une clairière…qui ne se trouve pas à Rethondes mais sur le territoire -certes très voisin- de Compiègne! La faute à une ‘petite gare’ secondaire de cette ville, un peu comme si on avait signé des ‘Accords de Paris’ à Massy ou Marne-la-Vallée. Il n’empêche, Rethondes?

A force de vouloir ne pas en parler, le nom du maréchal auquel il ne sera pas rendu hommage car frappé d’indignité nationale est sans doute le plus répété par les médias. Il n’est pas question ici d’entrer dans des débats d’historiens ou de polémistes divers, mais seulement de saisir l’occasion pour chercher la signification de ce patronyme à la sonorité manifestement encore douloureuse (on plaint les contemporains homonymes!)…

Ce fut donc ‘Une Histoire d’Amour’ (1) entre la chanson et surtout le cinéma français, une partition de plus de cinquante ans jouée par le compositeur né à Nice. Des dizaines de génériques de films ont reproduit ce patronyme d’une syllabe assez inhabituelle pour la langue et surtout pour des oreilles françaises tentées d’entendre un ‘laid’ tout à fait déplacé ici, car s’il s’agit en fait d’une histoire de…peuple.

…avec des majuscules, s’il vous plait, puisqu’il s’agit aujourd’hui de la course transatlantique qui relie, tous les quatre ans, la France aux Antilles (pardon, la métropole à la Guadeloupe), et qui porte ce nom évocateur de canne à sucre. Il y a des mots, comme ça, qui semblent exister naturellement dans le vocabulaire (et dans l’Histoire), dont il serait farfelu de se demander la provenance; or, le nom de cette course ne manque pas de surprises, ni pour la route ni pour le rhum, car, étymologiquement, l’événement était promis à la bagarre et à la casse…