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« Richard, Coeur de Lion » (ouh, que c’est original), tel est donc le surnom enflammé dont les médias ont gratifié le tennisman français, après sa récente victoire sur David Ferrer à l’US Open de cette année (2013). A la demande de nouveaux lecteurs francophones toujours aussi nombreux (merci!), voici le retour (gagnant?) de quelques éléments déjà publiés ici en 2011, avec quelques précisions supplémentaires. Gasquet est l’un des meilleurs joueurs français (son palmarès ne rentrerait pas dans cette rubrique), et c’est, forcément, un homme du sud! Forcément, car d’une part né à Béziers, puis (sportivement) à Sérignan, nous sommes donc en pays bitterois; d’autre part grâce à son nom, lequel se comprend facilement comme ayant un rapport avec la…Gascogne.

Hormis les passionnés d’Histoire, les limougeots, et les lycéens ayant réussi à parvenir à la page concernée avant la fin de l’année du Bac, peu de gens connaissaient (vraiment) l’existence d’Oradour-sur-Glane, qui a accédé en quelques heures à la notoriété (au moins) nationale, grâce à l’abandon de deux présidents dans une étreinte franco-allemande. Cette commune définitivement figée dans le temps (1) porte un nom facile à comprendre, mais pas forcément évident (2). Regardez-le encore quelques instants…Vous supposez qu’il y a une histoire de cité (l’oradour) construite sur un cours d’eau (le ou la Glane)? C’est bien ça, et tout commence par une histoire…d’os!

«Je ne voudrais pas que les mêmes qui recevaient M.Bachar Al Assad un quatorze juillet montrent aujourd’hui un esprit munichois face à ces atrocités», phrase lancée par Harlem Désir faisant allusion à la réception du tyran syrien à l’Elysée en 2008 par Nicolas Sarkozy…Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le premier secrétaire n’est pas jaloux à un nombre de bières partagées pour fêter le nième but d’un joueur de foot bavarois; non, la déclaration, tout à fait méchante et déplacée, fait référence à ces lâches accords de (pré)guerre signés en 1938, abandonnant la Tchécoslovaquie (pour commencer) à Hitler, histoire de sauvegarder la paix, avec le succès que l’on sait. Sinon, Munich, cela vous fait penser à quoi? A une prise d’otages israéliens pendant des Jeux Olympiques? Décidément, cela ne s’arrange pas. Voyons si par hasard l’étymologie du mot ne vaudrait pas mieux.