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Une fois n’est pas (souvent) coutume, cette chronique sur l’actualité est consacrée aujourd’hui au «people du show-business» comme on dit en français (peuple du spectacle, c’est pas terrible), et plus particulièrement à celle qui fait le bourdonnement sur la toile (le buzz) ou le gazouillis dans les réseaux (tweet), l’actrice américaine Scarlett Johansson. En effet, la jeune Grace qui ‘murmurait à l’oreille de Robert Redford’ dans un film que vous aurez reconnu, «n’a pas la vie facile» (je cite). Problèmes de couple? De succès professionnel? De harcèlement par les paparazzi? Pas du tout! L’insupportable du quotidien de la (également) chanteuse, c’est un surnom de plus en plus utilisé par les médias -et donc ses fans: «ScarJo»…

L’anecdote fera sourire tous les lecteurs qui me font l’honneur de lire ce blog depuis des zones (asiatiques, ou ouest-américaines entre autres) particulièrement susceptibles d’être touchées par des vibrations telluriques; mais la France -que dis-je, la Côte d’Azur, ce joyau- vient d’être troublée par un ‘séisme’ légèrement supérieur au niveau 5, d’après le classement d’un certain Charles Richter, physicien américain qui dut son ascension sociale à une échelle par lui installée en 1936 avec son collègue…Gutenberg, qui lui aussi fit bonne impression. Arrêtons-nous un peu sur l’étymologie de ce nom, pour une fois commun…

Derniers soubresauts footballistiques avec quelques déclarations cinglantes (comme d’hab) de l’entraineur de l’équipe de Chelsea; puis quelques apparitions d’un ex-premier ministre britannique, et enfin des révélations (pas si surprenantes) de l’ex-compagne d’un dictateur germain; sans compter la réélection triomphale d’un maire dans la commune méditerranéenne qui a rendu célèbre un certain joueur de belote, tous ces gens ont un point commun qui nous fait une semaine ‘brune’. Si tout cela vous semble un peu opaque, voici l’explication.

L’homme de la semaine ne sort pas d’un Conseil des Ministres mais d’un éclair de génie sportif; le footballeur argentin a soulevé les foules lors du match contre Chelsea, faisant hurler (de plaisir) tous les commentateurs (surtout de radio) et braire quelques autres. Or,avant d’affoler les compteurs des panneaux de score, cet homme avait battu un autre record, celui du transfert le plus cher de la Ligue 1 de football (43 millions d’euros) (1). On sait donc maintenant que « El Flaco » (« le maigre »: il est plus grand que son poids de corps théorique) peut conduire ses brebis à la victoire, mais, d’un point de vue étymologique, le mot est intéressant.