Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

C’est l’homme dont on parle en cette fin de semaine, et pourtant, c’est plutôt lui qui faisait en général parler les autres, puisqu’il était chargé de communication au Palais de l’Elysée (et donc proche conseiller de François Hollande), pour informer ceux de nos lecteurs (y compris français) qui ne seraient pas passionnés par la mesquinerie du quotidien politique. Mais celui qui en parle le mieux, c’est le site d’information MediaPart, qui raconte de long en large (de la semelle) les habitudes de cirage de pompes -au sens propre…forcément- du monsieur, ainsi que quelques détails de négociations financières suspectes et néanmoins agaçantes en cette période de restrictions budgétaires, pour ne pas dire d’austérité (1).

C’est sans conteste le mot le plus imprimé, le plus commenté et en même temps…le moins ‘dit’ de ces derniers temps. Rigueur, restrictions, économie, oui; mais austérité, voilà qui fait bien trop peur pour être verbalisé tel quel par nos hommes politiques. Pauvreté si vous voulez (on aura toujours des solutions pour remettre au lendemain), mais austérité, ça fait trop mal. Et pour cause: ça râpe, ça pique, ça brûle, d’abord et surtout étymologiquement.

…comme sur la photo! On ne peut pas mieux dire: le nouveau secrétaire général du Parti Socialiste a pris la pose (peut-être) au bord d’un balcon, histoire sans doute de prendre une hauteur dont il risque d’avoir bien besoin. A moins qu’il ne cherche à voir «où sont les fleurs» (1) de ses plates-bandes, afin de ne pas (trop) marcher sur celles de quelques personnalités du mouvement. Voilà une introduction quelque peu tortueuse mais tout à fait adaptée au sujet, puisque, Cambadélis, c’est une question de virages.

Le sujet du jour est…politique, même si vous avez reconnu le nom d’un célèbre chanteur, au discours néanmoins ‘citoyen’, et qui n’a jamais hésité à donner son avis sur l’actualité, la société, et, cette semaine, les résultats de nos récentes élections municipales. Le ‘buzz’ du moment concerne donc une prise de position selon laquelle Patriiiick refuserait de donner des concerts dans certaine(s) municipalité(s). Est-ce l’arbre qui cache la forêt? Peut-être; en tout cas, étymologiquement.

L’événement littéraire de la semaine passe par une histoire de jardin philosophique, dont l’un des promeneurs a provoqué un début de polémique dans le petit monde parisien et intellectuel (les deux n’étant pas systématiques). En clair: par son élection à l’Académie Française, l’essayiste Alain Finkielkraut perturbe, par sa liberté de parole, quelques certitudes socio-politiques; et aussi quelques lecteurs de ce blog, qui m’ont dit avoir toujours été intrigués par ce nom rugueux et apparemment très complexe.