Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Si les événements -et les journalistes- continuent à couler dans le même sens, le mot va finir par ‘coller’ définitivement à ‘la piste…’, aussi sûrement que l’actualité est forcément ‘brûlante’ et l’émotion ‘palpable’, y compris dans les rues deux jours après l’attentat qui a défrayé la récente chronique («faut amortir les directs, coco!». Autant donc se renseigner un tout petit peu sur la racine du ‘mal’ (terroriste, dixit Donald); et la piste en question nous conduit tout droit dans les montagnes…

Voyage présidentiel inaugural (pour la première fois) en Nouvelle-Calédonie…française donc située de l’autre coté du globe, tout comme l’américaine Nouvelle-Angleterre se trouve sur la côte Est des Etats-unis, ou l’ex-néerlandaise Nouvelle-Zélande (1) au (grand) large de l’Australie. Alors, forcément, ce territoire -pardon, collectivité territoriale- d’Océanie doit bien puiser son nom dans quelque région métropolitaine? Pas du tout, il est question ici de…l’Ecosse!

Aujourd’hui, football! Même si quasiment toutes les fois où l’on cite cette ville autrichienne sont en rapport avec Mozart (sa ville natale) tout comme Bayreuth est le territoire de Wagner (bien que né à Leipzig), il s’agit de parler de l’équipe qui est venue défier -sans succès- les enragés du Stade Vélodrome marseillais, dans le cadre du match-aller de la Ligue Europa. L’occasion pour nous de décrypter la composition (facile) d’un nom de lieu dont on trouve beaucoup de cousins à travers l’Europe, et d’y ajouter notre grain. Forcément de sel…

C’est peut-être le moment de se lancer dans le défilé quasi-olympique…des différentes transformations qui ont abouti à la création du nom de ce(s) pays, puisqu’en ces temps de réunification sportive (temporaire), il y a encore deux Corées. Enfin, du moins en coréen puisqu’en français et autres langues, un seul mot (et une expression) servent à désigner les parties opposées de la péninsule, en utilisant leur position géographique…

Décidément, les voyages ne réussissent pas aux équipes de ‘Matignon’, celles du ministère premier et récemment amer d’avoir réservé un Airbus privé pour gagner deux heures de vol et cinquante ou soixante coussins moelleux; quelques jours auparavant, il avait été moins risqué (y sont-ils allés en train?) de faire de Cahors le centre -très temporaire- du pouvoir exécutif national en y transportant les fauteuils (et les fesses) de nos gouvernants, forcément mieux…lotis sur les bords de la rivière homophone (1). Où il est dit que Matignon ne vient pas, mais pas du tout, du 7ème arrondissement de Paris.