Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

Je suis persuadé que nous ne connaissez (sans doute) pas la star du jour, car c’est un fidèle auditeur tarn-et-garonnais passionné d’étymologie qui vient de me souffler l’idée de rendre hommage à cette célèbre créatrice de Septfonds (82240), charmante commune de 2090 habitants qui compte également parmi ses enfants le parolier Etienne Roda-Gil (chansons de Julien Clerc), ou l’aviateur Dieudonné Costes, co-équipier de Maurice Bellonte avec lequel il fera la première traversée transatlantique est-ouest en 1930. Mais aujourd’hui, c’est à l’indutrieuse Pétronille que nous donnons un coup de chapeau, et pour cause.

Selon les semaines, il y a des internautes venus de 13 à 17 pays différents qui me font l’honneur de se connecter sur ce site, avec, ces jours-ci, une arrivée massive de lecteurs résidant en Guyane (française). Coup de chapeau à ces ultramarins fidèles, et, en leur honneur, gros plan sur l’étymologie (que ne connaissent peut-être pas les métropolitains) de ce département français numéro 973. Et l’histoire pourrait commencer ainsi…

C’est étonnant le nombre de personnes qui se réjouissent d’un jour férié comme celui du 11 novembre, tout en étant strictement incapables d’en déterminer la raison. Et, quand le mot leur vient à la bouche, il est très souvent bafouillé et confondu avec…’amnistie’ (1), l’un et l’autre n’étant d’ailleurs pas plus faciles à définir ou à dater pour nos contemporains (tout au moins en ce qui concerne l’Armistice). Allez, peu importe l’Histoire, voyons quelle est l’étymologie de ce ‘machin’ imprononçable, comme aurait dit le Général de Gaulle (2).

Vous vous croyiez débarrassés des patronymes grecs? Pas tout à fait encore, puisque le nouveau premier ministre de ce pays nous donne l’occasion de relancer une belle analyse étymologique, à la suite d’un Papandréou désormais aux oubliettes (sauf à remonter ces chroniques de quelques jours). Car, si Georges avait un nom intéressant (le Père André), Loukas fait encore mieux dans son domaine, et franchement, une telle origine ne pouvait que l’amener au gouvernement…

Si! Depuis 1990, c’est bien l’orthographe officielle de la plante des étangs et des marais, comme nous le rappelle aujourd’hui l’Académie (qui ne nous avait rien dit, comme à l’Education Nationale). «L’affaire» éclate aujourd’hui, à l’occasion de contestations scolaires lors de séances de dictées (de?) primaire(s). Châteaubriand, Victor Hugo et autres Claude Monet n’ont plus qu’à grignoter les nymphéas par la racine, et voici pourquoi.