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«Comment, m’a écrit un lecteur assidu, vous parlez de Dupont-Aignan (Nicolas) et vous oubliez Morin (Hervé)?!». Certes, certes, j’allais oublier le dernier grand candidat à l’élection présidentielle, nous allons donc réparer cette erreur immédiatement, pour éviter de laisser le président du Nouveau Centre dans une obscurité médiatique que pourrait pourtant expliquer une ‘sombritude’ étymologique, comme dirait qui vous savez. A nom connu, explication simple, mais pas forcément claire, pour ne pas dire carrément…foncée!

Nous sommes quasiment fin-prêts pour la campagne présidentielle, au moins étymologiquement parlant, puisque tous les noms des ‘ténors’ ont été traités dans ces colonnes ces derniers mois, à des occasions diverses (1). Tous? Presque, car un candidat cherche désespérément à faire entendre sa voix (et y arrive ce dernier week-end) pour proposer une autre…voie: Nicolas Dupont-Aignan. Que cache cet homme ‘double’?

C’est le week-end, et vous avez droit au «bonbon du dimanche», expression jadis utilisée dans certains milieux pour célébrer le Jour du Seigneur, de retour de la messe (ou plutôt de la pâtisserie adjacente à l’église). Et, pour que vous trouviez immédiatement de quelle marque célèbre nous allons analyser l’étymologie aujourd’hui, je vous donne le nom et la nationalité de son créateur: Il s’appelle Hans Riegel, il est donc allemand, et il habite Bonn…

Pas de panique, ceci n’est pas une chronique d’hommage, et l’humoriste est toujours parmi nous;  la raison de ce coup de projecteur étymologique est simple: Guy ne nous a pas quittés, il nous quitte; je veux dire qu’il fait ses adieux à la scène, en débutant ces jours-ci une tournée nommée «Rideau», on ne peut pas faire plus clair. Or, si le personnage est connu, le patronyme qu’il porte semble tout à fait simple mais pas évident (1) pour autant. Que diriez-vous d’une petite plongée dans les racines linguistiques de ce mot?

Franchement, il y a des gens qui n’ont pas de chance, car on les appelle d’un mot qui les diminue, alors qu’ils sont nommés aux plus hautes fonctions, je veux parler de nos pauvres…ministres, et voici pourquoi.