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Il est rare, à notre époque, qu’on doive absolument trouver un patronyme à quelqu’un, surtout quand la personne en question ne manque pas de richesse…généalogique. C’est ce qui va arriver à Henry-Charles-Albert-David de Galles, plus connu sous l’abréviation de Harry, prince de la couronne d’Angleterre. Mamie Liza a donc dû gratifier son néo-canadien de petit-fils de ‘Mountbatten-Windsor’. Logique, mais pas très étymo…

Et un mot de plus à la Une, par la grâce d’une médiatisation aussi inattendue que subite. Le dernier accessoire à la mode (littéralement: qui représente un moyen ou une manière de faire quelque chose) est un petit stylet qu’il convient d’enfoncer «dans des cavités anatomiques» comme le disent sans plus de précisions certains dictionnaires. Et quelle est la fonction de ce ‘coton-tige nasal’ (que vous avez peut-être expérimenté)? Donner un bon coup de balai au coronavirus, à tous points de vue d’ailleurs.

Est-ce la crise (d’inspiration?) dans le répertoire militaire français, qui se lance dans la psychologie réparatrice en abandonnant la lignée des Opérations ‘animales’ comme Epervier (Tchad, 1986) Licorne (Côte d’Ivoire, 2002) ou Serval* (Mali 2013)? Il est vrai qu’il s’agit cette fois de se battre « non pas contre un pays ou une nation » (dixit Manu) mais contre un virus, en assurant l’évacuation et le transport de personnes atteintes que l’on va retirer des zones les plus sensibles en les reculant par rapport au front…C’est exactement l’étymologie de ce mot!

Contrairement à ce que vient de me dire la petite fille de ma voisine (depuis son balcon), un(e) ‘pandemie’ n’a rien à voir avec la tranche briochée qui sert de support à la pâte de noisettes matutinale; mais, d’une certaine façon, on peut considérer qu’il y a dans ce mot la possibilité -pour ne pas dire la probabilité- d’en rajouter une couche et même plusieurs, y compris étymologiquement!

Il restera l’homme qui a mené l’équipe de France (de football, au cas où vous auriez passé les vingt dernières années sur Mars) à son premier grand titre international, le Championnat d’Europe 1984. Devenu entraineur après une carrière de joueur lui-même, le natif -par hasard- de Leffrinckoucke (Nord) partage ce patronyme hautement espagnol avec la maire (actuelle) de Paris. Pour ceux qui nous ont rejoint depuis 2013 (précédent article), petit retour parfois surprenant au soleil de Castille.