Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

A toute règle, son exception: il est bien entendu que l’objet de ce blog est de démontrer que le sens de chaque patronyme cité ici n’est pas celui que vous croyez, à cause d’une sonorité jugée  »équivoque ». Eh bien voici l’un des rares exemples où il faudra prendre le mot au pied de la lettre (ou l’objet à sa racine, c’est comme vous voulez). Et de relire le titre, en pensant: «non, c’est pas possible!?». Eh bien si, c’est possible, et les messieurs Queulevée n’ont qu’à bien se tenir.

Il ne vous a peut-être pas échappé que ce 13 janvier est la très officielle Journée Mondiale du…pantalon (ce n’est pas le sujet le plus débile de la liste); je ne saurais expliquer de quel(s) esprit(s) culottés a pu tomber cette idée, mais toujours est-il que certains ont d’ores et déjà fêté ce qu’ils comprennent comme la journée sans pantalon, ce qui laisse la braguette ouverte à toutes manifestations et ‘belles joyeusetés’, comme aurait dit Rabelais.

Prologue: période bénie pour les chaines d’information en continu, qui n’ont qu’à se pencher sur les dépêches AFP pour trouver matière à tourner en boucle et enchainer sur la prochaine ‘nécro’. Si on vous gave du même nom sur toutes les fréquences, bien peu vous ont donné son origine; or, là aussi, il n’y a qu’à se pencher pour comprendre!

Le problème, quand on est britannique et qu’on s’appelle David Robert Jones (son véritable état-civil), c’est qu’on risque l’homonymie à tous les coins de registres; en effet, Jones est un diminutif de John, l’équivalent de notre très commun Jean. Et s’appeler Jean quand on se lance dans la musique pop, mais surtout qu’on a un concurrent déjà célèbre (Davy -en plus!- Jones, le chanteur du groupe les Monkees), mieux vaut changer de nom. De quoi se battre au couteau, littéralement.

Entrée spectaculaire de l’ex-joueur des Girondins de Bordeaux dans le concert international des grands clubs de la planète, avec une victoire sans appel au profit du Real Madrid. Le nouvel entraineur bénéficie d’une presse dithyrambique, ce qui ne fera que conforter un destin défini dès la naissance par son état-civil! En effet, patronyme et prénom(s) ne pouvaient en faire qu’une étoile au firmament du football, sans oublier une curieuse coïncidence…géographique!

Pas besoin de signer un blanc-seing pour ce Têton-là, surtout quand on a compris son étymologie! En effet, les Têton n’ont rien à voir avec les tétons (notez la différence d’accent sur le ‘e’): un téton, c’est l’endroit où l’on tête (et non pas ce que l’on tête, çà, c’est la tétine…); Têton, c’est au contraire le surnom de quelqu’un qui a quelque chose à voir avec la tête, ou, comme on disait au Moyen-Age, la ‘teste’, ce qui va permettre de créer une foule de différentes ‘Tête’, et je ne veux pas en voir une qui dépasse.