Le site qui vous aide à comprendre le vrai sens de votre patronyme

…qui n’a pas manqué d’airs (bon et mauvais) depuis plus de huit ans, menée au Sahel et au Sahara par l’armée française pour lutter contre les menées djihadistes, au gré des humeurs du Mali (1). Ainsi, après les périodes Epervier et Serval porteuses de surnoms symboliques assez prisés dans les milieux militaires (2), on va bientôt ne plus entendre parler de ce nom de code beau comme un titre de film de James Bond. Mais au fait, Général, c’est qui ou quoi, Barkhane?

Petit rappel préalable et néanmoins parfois indispensable auprès de certains de nos concitoyens (j’en connais), ‘barkhane’ n’a rien à voir avec une déformation de…’sarbacane’, mot d’origine arabe (quand même) qui signifie ‘flèche pour tuer les oiseaux’, puis transmise, avant nous, par les Espagnols en ‘zarbatana’. Aucun rapport non plus avec une ’barquane’ fantasmée comme une…petite barque, d’autant que dans le secteur, pas évident de faire du canoë-kayak de compétition sauf éventuellement sur l’unique lien aquatique Gao-Mopti-Bamako (dans le sens du courant, direction l’océan atlantique) mais alors on parle plutôt de pirogue!

Barkhane n’étant pas non plus hérité(e) du parler (encore) arabe ‘barka’, sorte d’augmentatif pour dire ‘bon, ça va, allez-y’, ni même et enfin un nom propre dérivé de ‘Khan’ (comme Gengis), il se trouve que c’est un nom tout à fait commun qui désigne une dune, ou plus exactement un certain type de dunes. Pour une fois, je vous fais un dessin…c’est celui qui figure sur l’écusson d’illustration en tête de chronique et également sur les épaules de nos soldats.

Car, sans entrer dans des détails géodésiques (étymologiquement: qui concernent une forme tracée sur ou de la Terre), les dunes qui s’élèvent à la surface du globe ne sont pas toutes de gentilles vagues de sable, certaines sont même imprévisibles et meurtrières, d’autres sont plus touristiques (3). Notre barkhane du jour a ceci de spécifique qu’elle prend une forme de croissant (sic) en se creusant faiblement sous l’action de vents modérés et soufflant dans la même direction (ce qui n’est pas le cas, par exemple, des méga-dunes de certaines régions dont la crête peut évoluer, changer de sens, ou encore se déplacer sur le fond).

Pour essayer d’être le plus complet possible, on dit qu’une barkhane est formée par ‘saltation’ du sable sous l’action du vent, terme d’origine latine (‘saltus’ est devenu ‘saut’ en français) qui indique que la force du vent transporte les grains de sable en les faisant ‘sauter’ par petits bonds jusqu’au sommet (4). Les paramètres naturels décrits ci-dessus font qu’on connait d’ailleurs d’autres régions dans lesquelles on trouve de nombreuses barkhanes, et c’est…la planète Mars. Mais cette fois, cela fera un peu loin pour aller positionner les forces françaises; même étymologiquement.

(1) Etymologiquement, le Mali c’est le « pays des voyageurs…arabes » (!)

(2) (re)lisez également la très complète et surprenante explication au sujet de l’origine du serval et de ses copains, en archives depuis janvier 2013

(3) Voir le récent article sur le célèbre ‘Pilat/Pyla’.

(4) Chez les Romains, le mot s’appliquait également aux sautillements…d’une danseuse.

…avait-il écrit en légende de son tout-dernier dessin dans l’hebdomadaire Paris-Match, pour l’édition datée de…la veille de sa mort. Lui qui revendiquait le fait d’avoir été « parfois raisonnable mais jamais adulte » est un pur gascon (né à Bordeaux) de provenance béarnaise, en tous cas étymologiquement.

En effet, ce patronyme à l’air un peu mystérieux si l’on n’y accorde pas quelques instants de réflexion est une forme tout à fait simple; il ne cache aucune racine compliquée de patois ou d’influence étrangère car, pour une (des rares) fois, il faut pour comprendre « l’entendre » en prononçant le mot « à la parisienne », soit non pas ‘semmpé’ mais ‘seinpé’… Vous avez trouvé?

Procédons par approche sonore (c’est comme cela que marche, toujours, l’étymologie):  ‘seinpé’, ça peut s’écrire encore ‘ceintpé’, voire ‘cinq pés’ (en rendant le ‘q’ muet); mais le mieux, c’est encore…’saintpé’. Et si vous regardez sur une carte (du sud de la France), vous allez trouver un certain nombre de St-Pé, dont les plus connus sont ‘de’ Bigorre, de Nivelle ou d’Oloron (St-Pé-de-Leren, Saint Pée d’En-Haut); idem pour St-Pé d’Ardet (Hte-Garonne, au sud de St-Gaudens).

Pas très compliqué dès lors de comprendre (ou d’imaginer) que ce ‘Pé’-là (1) est l’une des très nombreuses variantes du prénom Pierre, en l’occurence ici en gascon. L’orthographe en ‘Pée’ ne change en rien le sexe du saint patron de l’Eglise, logiquement présent sur un maximum d’étapes vers St…Jacques de Compostelle, au plus grand profit de St…Pierre de Rome. Pour être le plus fidèle possible à la langue régionale, il faudrait même écrire ‘Sant Pé’ ou mieux ‘Sent Pè’, graphie que vous trouverez sur de nombreux panneaux locaux.

Imaginez alors un ‘Français du nord de la Loire’ (non gascon, non occitan) devant la mention en question: cela se lit forcément Sempé, même si l’Etat-Civil national a également toléré, au 19è siècle, des Sempey ou même des Semper et des Sempéré ! Par ailleurs, difficile de lister ici les centaines de ‘St-Pierre-de ou en-quelque-chose’ présents dans nos campagnes, la plupart s’étant donné pour protecteur le premier des apôtres, un patron-pêcheur qui s’appelait…Simon mais sur lequel Jésus bâtira son église (à condition de faire le jeu de mots en grec (2) sinon, à part ‘saumon’ comme rime, ça tombe un peu à plat).

Sempé n’est donc pas une sorte de pseudo créé par certains de ses collègues, comme Georges Rémy (Hergé), Georges Blondeaux (Gébé), Jean Plantureux (Plantu), Edmond Kirazian (Kiraz) ou Jean Maurice Cabut (Cabu*). En tous cas, au paradis des dessinateurs, Sempé n’aura probablement aucune difficulté à négocier l’entrée avec Saint Pierre, surtout étymologiquement!

NB: le dessin d’illustration est créé par Bernard Deubelbeiss

(1) Honni soit qui mal y pense…

(2) « Tu es Pierre (petra, la pierre; petros, le prénom) et sur cette pierre… »

* : voir sa chronique personnelle en archives (janvier 2015)

…aura permis de détourner temporairement l’attention des incendies mais aussi de rafraichir certaines données sur les effets du dérèglement climatique. Malgré une abondante couverture médiatique toujours habile à entretenir un suspense probablement artificiel mais tellement porteur d’émotion, l’animal a donc dû être expédié vers son paradis blanc, forcément blanc…

Tel est en effet la signification de l’adjectif d’origine russe ‘beluga’ ou ‘belouga’ en version française (on se demande d’ailleurs quelles oreilles ont pu adapter un son originel plus proche de… « bmérou » que de « nouga », mais il est vrai que la terminaison finale ‘fait’ davantage russe). Bref, dans les eaux de l’océan arctique, l’animal est une « blanchette », diminutif bien mal venu pour un cétacé pouvant atteindre cinq mètres de long, mais bon, les Russes parlent aussi de ‘baleine blanche’. Ou de marsouin blanc. Ou de dauphin blanc…et c’est là que ça se complique un peu.

Car, de nos jours, la nomenclature distingue clairement ces différentes espèces, même s’il font bien partie de la même classe. Et si le beluga est russe, le cétacé lui est…grec; autant dire qu’à l’époque, les choses ne sont pas plus simples: en effet, à l’époque, ‘une cétacée’ (en latin, on dira ‘cetacea’ au féminin aussi) est tout simplement…un monstre marin. Les livres de zoologie n’ayant pas encore les idées tout à fait claires sur les différences morphologiques, les Grecs sont encore dans un fantasme maritime qui mêle à la fois le produit de leur pêche et les divinités dangereuses susceptibles de les attaquer en mer (souvenez-vous des sirènes d’Ulysse).

Seule constatation élémentaire: est déclaré ‘kêtos’ (ce qui va donner céta-cé pour nous) tout animal ‘énorme’ qui vit dans l’eau, à savoir les baleines mais aussi…les crocodiles et les hippopotames (pour ceux qui avaient exploré les confins du Nil). Du coup, ce qui est petit est ‘poisson’, ce qui est gros est ‘cétacé’, mammifère ou reptile peu importe. Il y aura même une époque où l’on rajoutera les phoques et les thons! Il faudra attendre le 16ème siècle pour commencer à voir apparaitre une distinction en ‘ordre des mammifères marins’ (ce qui suppose qu’on y était allé voir de près), mais on trouve encore la mention ‘poissons cétacés’ pendant longtemps.

Le surnom le plus surprenant (et de l’époque moderne) est quand même celui de « canari de mer », en raison de la gamme de petits sifflements modulés dont il se sert pour communiquer. Rien d’étonnant à cela, les hommes ont toujours commencé par surnommer ce qu’ils ne connaissaient pas (encore) en comparant le sujet à son équivalent terrestre, comme les « éléphants de mer » (des phoques), les « chiens de mer » (des requins), « les étoiles de mer » (animal carnivore à cinq branches) ou…  « des concombres de mer » (sorte de gros oursin mou sans piquants).

Signalons pour terminer une homophonie (une ressemblance sonore) quasi-parfaite, intéressante d’un point de vue linguistique mais qui n’a aucune chance d’avoir emprunté la même racine, c’est le terme occitan…’beluga’ (belugue ou belougue en français) qui évoque une étincelle ou une lueur. La racine proprement languedocienne du mot est en rapport avec l’idée d’une lumière vive et fulgurante (l’étincelle) mais ressemble également au celte ‘bélos’ qui peut se rapprocher de la clarté de l’aube naissante…L’aube, c’est-à-dire en latin ‘la blancheur’ (du matin), et pourquoi pas comme la couleur de peau du béluga? En tous cas, symboliquement!

…Ministre de la Culture du gouvernement Borne, ex-attachée culturelle auprès de l’ambassade de France aux Etats-Unis puis conseillère à l’Elysée, on ne peut pas: sa double nationalité (franco-libanaise) témoigne de la présence linguistique de notre pays dans l’histoire du Moyen-Orient, autrefois souvent en rivalité avec l’influence britannique. Chacun des éléments de son patronyme ne doit évidemment rien aux prairies angevines ou à un toponyme savoyard mais à des phonèmes (des sons) rattachés à des concepts arabes; on parle bien ici de la culture (moyen-)orientale au sens large et non de repères nationaux récents délimités par des frontières (pas toujours stables).


Tout commence bien pour la ‘blanche gazelle’, puisque c’est plus ou moins (selon la zone de langage) le sens que l’on donne à ce terme qui fait figure de sorte d’hypocoristique, c’est-à-dire un qualificatif assez élogieux et pour le moins affectueux. Quelquefois, on peut entendre un papa français appeller sa petite fille « ma gazelle » (un rapatrié?), en tous cas on entendra plus souvent « ma biche » ce qui n’est pas si loin que ça, sauf quand c’est Louis de Funès qui répond à sa femme.


Alors, diminutif ou sobriquet, Rima correspond bien à l’idée que se font -en général- les cultures de la terminaison finale ‘-a’, soit une ‘désinence’ (une rime) féminine (1). Mais en ce qui concerne la racine ‘rim-‘, d’autres langues désignent davantage une antilope (mais pour en trouver des blanches, il faut se lever de bonne heure), la teinte ayant sans doute là encore plus une fonction symbolique avec le sens de blanche comme la neige (en Europe) donc pure, pour ne pas dire vierge…


Suit donc ce que nous positionnons, à l’occidentale, comme un nom propre, constitué de deux branches réunies (Abdul + Malak) souvent notées en un seul mot, comme chez le propre oncle paternel de Rima, Samir AbdelMalak. Ce qui prouve au passage que la première partie du patronyme peut être orthographiée Abdel ou Abdul (voire Abdula) ainsi que ‘Abad’, généralement traduits par « le serviteur (ou la servante) de Dieu (2)», nom dit de baptême qui plaçait d’emblée l’avenir du nouveau/elle—né(e) sous la protection divine.


Quant à l’autre partie, il y a une légère équivoque (et donc discussion) entre malik/malak-malek, le premier étant parfois utilisé comme prénom ‘humain’ mais faisant clairement partie à l’origine des qualificatifs réservés à Dieu puisqu’il signifie quelque chose comme « Celui qui possède toute chose », avec une dimension spirituelle voire religieuse qui interdit de penser qu’il s’agit d’un propriétaire qui compte ses têtes de bétail mais plutôt d’une puissance supérieure par laquelle toute chose arrive. De fait ‘malak/malek’ ont davantage de chances d’être connectés avec un ‘ange’, signification de cet adjectif qui prend là encore une dimension symbolique, soit pour espérer une vie intellectuelle supérieure pour celui qui le porte, soit (mais paradoxalement, c’est moins évident) pour qualifier quelqu’un de particulièrement…angélique.

Car le premier sens d’un ange n’a rien à voir avec la gentillesse ou la douceur mais avec le rôle de porteur de la parole de Dieu et donc d’annonciateur (demandez à Marie). Voilà au moins une combinaison qui permettra à la chargée d’un ministère où pullulent les petits diables de survoler ses dossiers sans lui couper les ailes. D’autant que s’appeler Ange n’est pas un mauvais présage, surtout quand on se prénomme…Michel. En tous cas artistiquement.


1. Essayez avec d’autres prénoms français, ça marche à tous les coups, sans parler des noms espagnols et plus encore italiens…


2. En ‘chrétien’, on dit…Dominicus (Dominique).

…telle est la phrase étonnante récemment entendue sur une chaine d’informations et impensable il y a encore peu de temps, la pluie ou toute baisse de température étant depuis toujours synonyme « d’été pourri » et de « catastrophe économique pour le tourisme » dans la bouche du simple stagiaire météo. Où l’on entend également les vacanciers pris dans les incendies « jurer mais un peu tard qu’on ne (les) y prendra plus », malgré les incessantes prévisions ou plutôt prédictions des spécialistes de l’environnement. Au fait, d’où vient exactement ce mot que vous entendez plusieurs fois par jour ?

La forme dans laquelle nous en parlons aujourd’hui est une ‘apocope’, qualificatif qui n’a rien à voir avec quoi que ce soit de climatique mais de linguistique : ce terme indique en effet que l’usage d’un mot a été contracté ou (ici) abrégé en supprimant la syllabe finale voire davantage (tant qu’il n’y a pas équivoque avec un autre mot), soit pour des raisons de diction locale ou régionale, soit tout simplement pour une prononciation plus rapide.

En effet, on ne réalise pas toujours que toute locution (le fait de parler une langue) demande de l’énergie, même minime; et comme pour tout effort, le moins exigeant est toujours le plus facile. En l’occurrence et par exemple, vous n’allez plus aux séances du cinématographe mais au cinéma, plus besoin de signifier que l’on ‘écrit’ (-graphe) des mouvements (cinema-) sur l’écran. De la même façon, même si le terme ‘auto’ tout seul est un peu passé, c’est encore moins fatigant à dire que de prendre son auto-mobile (qui avance toute seule) (1). 

Idem pour la ‘télé’ qui se passe de vision depuis longtemps, alors que la partie qui est restée est en fait un adverbe grec qui signifie ‘au loin’, le plus important étant pourtant la section ‘vision’, en tous cas si vous voulez voir quelque chose qui se passe à l’autre bout du monde (2)…Si vous êtes inscrit en philo, pas besoin de préciser ‘-sophie’; quant au Métropolitain, il a perdu son wagon de queue depuis que tout le monde a compris qu’il est construit dans une ville (-politain) capitale (metro-), etc, etc…

Bref, en ce qui concerne la météo, le vent vient de la Grèce et, comme on ne dit déjà plus ‘météorologie’ (ou alors, si vous voulez faire’ genre’ dans un dîner), on a donc une première apocope : on ne dit plus le ‘-logie’, il nous reste en réalité ‘météoro-‘ (et non pas météo, qui est encore un ‘rabotage’ de confort)…Et nous voici donc avec l’adjectif grec ‘meteoros’ qui qualifie tout « ce qui est en haut ou qui s’élève ». En foi de quoi…

Le mot a (eu) une multitude de sens, aussi bien très concrets que d’autres beaucoup plus figurés (accrochez-vous quand même) : on commence par quelque chose situé sur un niveau plus élevé que le sol soit…un tombeau, ou plus exactement une stèle qui se dresse (le temps des regrets…). De la même façon, le terme va servir à caractériser un animal en hauteur, à commencer évidemment par les girafes.

Une fois élevé dans les airs, on va s’attaquer à ce qui ‘tient tout seul’ ou que les Anciens croyaient ‘suspendu’, comme le vol des oiseaux bien sûr mais aussi les nuages (on se dirige vers le futur sens atmosphérique) et donc tous les corps célestes, pas forcément très clairement explicables à l’époque: exemple, les…météo-rites, c’est-à-dire les phénomènes dont on pensait alors qu’ils résultaient de jets de gaz montant du sol (alors qu’on sait bien que la gravité de la Terre les fait plutôt tomber vers le bas, si pas désintégrés).

Voilà pourquoi la ‘météoro’ devenue météo (plus court, on peut pas) concerne tout ce qui peut venir, monter ou descendre des airs, pluie, vent, grêle, neige et autres réjouissances climatiques…Mais il y a deux ou trois sens supplémentaires assez inattendus et pourtant authentiques: outre le nom de lieu attaché aux montagnes du nord de la Grèce qui s’élèvent tout droit vers le ciel et donc logiquement baptisées ‘Météores’, le premier médecin sacré (ou l’inverse) de l’Antiquité, le ci-devant Hippocrate auquel les carabins prêtent serment, considéraient que les gonflements de la peau (ou des organes) subissaient la même action, d’où le terme de ‘météorisme’ que notre Ambroise Paré national utilisera (au 16è siècle) pour diagnostiquer aussi bien une foulure qui enfle qu’un estomac largement dilaté…

Le dernier sens pas moins intéressant est contenu dans la définition suivante, que je vous livre telle quelle et que l’on doit également à nos ancêtres hellènes: « Est météore tout organe qui gonfle et se redresse sous l’effet d’une excitation ». Pas besoin sans doute de vous en dire davantage, y compris étymologiquement (3)!

(1) Sous-entendu apparemment, c’est-à-dire sans voir un ou des chevaux devant la ‘caisse’ du carrosse comme autrefois…

(2) La télé-vision est donc, à l’origine, une technique qui vous montre non pas des ‘Marseillaises’ en  bikini en train de s’injurier mais des ‘vues (de paysages ou de situations) se déroulant loin de chez vous’.

(3) Et maintenant, vous ne pourrez plus jamais écouter le bulletin sur le Temps sans y penser…